vendredi 23 janvier 2015

Projet Juliette / Jordane – phrases 25-29

Estas son mis cosas —dijo el hombre—, todo lo he comprado con el sudor de mi frente. He tenido que trabajar como una mula para tener todo esto.
Esa voz no llegaba a la conciencia de Onel. Tal vez ni siquiera se daba cuenta de la presencia de ese hombre que trataba de explicar su existencia. Se oía una voz, otra más lejana y más profunda, una voz que pesadamente arrastraba el viento.

Traduction temporaire :

— Ces affaires sont à moi, insista l’homme. Je les ai toutes achetées à la sueur de mon front. J’ai dû travailler comme un âne pour avoir tout ça.
Cette voix n’arrivait pas à la conscience d’Onel. Peut-être ne se rendait-il même pas compte de la présence de cet homme qui essayait d’expliquer son existence. On entendait une voix, une autre plus loin et plus profonde, une voix qui, avec lourdeur, portait le vent.

7 commentaires:

Unknown a dit…

— Ces affaires sont à moi, dit l’homme. Je les ai toutes achetés à la sueur de mon front. J’ai dû travailler comme un âne pour avoir tout ça.
Cette voix n’arrivait pas à l’esprit d’Onel. Peut-être ne se rendait-il même pas compte de la présence de cet homme qui essayait d’expliquer son existence. On entendait une voix, une autre plus loin et plus profonde, une voix qui, avec lourdeur, portait le vent. Par moment, Onel regardait ses mains comme il regardait les pierres, comme il regardait la poussière que personne n’avait pris soin de nettoyer, de temps en temps, des meubles d’une maison abandonnée.

Tradabordo a dit…

— Ces affaires sont à moi, dit [« insista » ?] l’homme. Je les ai toutes achetés [grammaire] à la sueur de mon front. J’ai dû travailler comme un âne pour avoir tout ça.
Cette voix n’arrivait pas à l’esprit [nécessaire de changer ?] d’Onel. Peut-être ne se rendait-il même pas compte de la présence de cet homme qui essayait d’expliquer son existence. On entendait une voix, une autre plus loin et plus profonde, une voix qui, avec lourdeur, portait le vent.


Supprimez la suite. Je ne l'ai pas encore mise dans le post.

Par moment, Onel regardait ses mains comme il regardait les pierres, comme il regardait la poussière que personne n’avait pris soin de nettoyer, de temps en temps, des meubles d’une maison abandonnée.

Unknown a dit…

— Ces affaires sont à moi, insista l’homme. Je les ai toutes acheté à la sueur de mon front. J’ai dû travailler comme un âne pour avoir tout ça.
Cette voix n’arrivait pas à la conscience d’Onel. Peut-être ne se rendait-il même pas compte de la présence de cet homme qui essayait d’expliquer son existence. On entendait une voix, une autre plus loin et plus profonde, une voix qui, avec lourdeur, portait le vent.

Tradabordo a dit…

— Ces affaires sont à moi, insista l’homme. Je les ai toutes acheté [grammaire] à la sueur de mon front. J’ai dû travailler comme un âne pour avoir tout ça.
Cette voix n’arrivait pas à la conscience d’Onel. Peut-être ne se rendait-il même pas compte de la présence de cet homme qui essayait d’expliquer son existence. On entendait une voix, une autre plus loin et plus profonde, une voix qui, avec lourdeur, portait le vent.

Unknown a dit…

— Ces affaires sont à moi, insista l’homme. Je les ai toutes achetées à la sueur de mon front. J’ai dû travailler comme un âne pour avoir tout ça.
Cette voix n’arrivait pas à la conscience d’Onel. Peut-être ne se rendait-il même pas compte de la présence de cet homme qui essayait d’expliquer son existence. On entendait une voix, une autre plus loin et plus profonde, une voix qui, avec lourdeur, portait le vent.

Tradabordo a dit…

— Ces affaires sont à moi, insista l’homme. Je les ai toutes achetées à la sueur de mon front. J’ai dû travailler comme un âne pour avoir tout ça.
Cette voix n’arrivait pas à la conscience d’Onel. Peut-être ne se rendait-il même pas compte de la présence de cet homme qui essayait d’expliquer son existence. On entendait une voix, une autre plus loin et plus profonde, une voix qui, avec lourdeur, portait le vent.

OK.

Jordane ?

Unknown a dit…

Ok.