vendredi 23 janvier 2015

Projet Juliette / Jordane – phrases 30-32

A ratos Onel miraba sus manos como se mira las piedras, como se mira el polvo que nadie ha tenido el cuidado de limpiarlo, de tiempo en tiempo, de los muebles de una casa abandonada.
Estaba cayendo la tarde y todo se iba inundando de sombras apagadas, envejecidas, trashumantes. La mirada de Onel, sus ojos y sus manos parecían envejecer con la tarde.

Traduction temporaire :
Par moment, Onel regardait ses mains comme on regarde les pierres, comme on regarde la poussière que personne n’a pris soin d'enlever, de temps en temps, sur les meubles d’une maison abandonnée. La nuit tombait et tout était inondé par des couleurs éteintes, vieillies, transhumantes. Le regard d’Onel, ses yeux et ses mains semblaient vieillir avec le soir.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Par moment, Onel regardait ses mains comme il regardait les pierres, comme il regardait la poussière que personne n’avait pris soin de nettoyer, de temps en temps, des meubles d’une maison abandonnée.
La nuit tombait et tout se noyait d’ombres éteintes, vieillies, volantes. Le regard d’Onel, ses yeux et ses mains semblaient vieillir avec le soir.

Tradabordo a dit…

Par moment, Onel regardait ses mains comme il [« como SE mira »] regardait [temps] les pierres, comme il regardait [idem]

Du coup, corrigez…

la poussière que personne n’avait pris soin de nettoyer, de temps en temps, des meubles d’une maison abandonnée.
La nuit tombait et tout se noyait d’ombres éteintes, vieillies, volantes. Le regard d’Onel, ses yeux et ses mains semblaient vieillir avec le soir.

Unknown a dit…

Par moment, Onel regardait ses mains comme on regarde les pierres, comme on regarde la poussière que personne n’a pris soin de nettoyer, de temps en temps, des meubles d’une maison abandonnée.
La nuit tombait et tout se noyait d’ombres éteintes, vieillies, volantes. Le regard d’Onel, ses yeux et ses mains semblaient vieillir avec le soir.

Tradabordo a dit…

Par moment, Onel regardait ses mains comme on regarde les pierres, comme on regarde la poussière que personne n’a pris soin de nettoyer, de temps en temps, des [avec « nettoyer », « des » ne va pas…] meubles d’une maison abandonnée.
La nuit tombait et tout se noyait d’[pas ce qui est dit]ombres éteintes, vieillies, volantes [pourquoi vous changez ?]. Le regard d’Onel, ses yeux et ses mains semblaient vieillir avec le soir.

Unknown a dit…

Par moment, Onel regardait ses mains comme on regarde les pierres, comme on regarde la poussière que personne n’a pris soin de nettoyer, de temps en temps, sur les meubles d’une maison abandonnée.
La nuit tombait et tout se noyait de couleurs éteintes, vieillies, transhumantes. Le regard d’Onel, ses yeux et ses mains semblaient vieillir avec le soir.

Tradabordo a dit…

Par moment, Onel regardait ses mains comme on regarde les pierres, comme on regarde la poussière que personne n’a pris soin de nettoyer [« d'enlever » ?], de temps en temps, sur les meubles d’une maison abandonnée.
La nuit tombait et tout se noyait de [« était inondé par » ?] couleurs éteintes, vieillies, transhumantes. Le regard d’Onel, ses yeux et ses mains semblaient vieillir avec le soir.

Unknown a dit…

Par moment, Onel regardait ses mains comme on regarde les pierres, comme on regarde la poussière que personne n’a pris soin d'enlever, de temps en temps, sur les meubles d’une maison abandonnée.
La nuit tombait et tout était inondé par des couleurs éteintes, vieillies, transhumantes. Le regard d’Onel, ses yeux et ses mains semblaient vieillir avec le soir.

Tradabordo a dit…

Par moment, Onel regardait ses mains comme on regarde les pierres, comme on regarde la poussière que personne n’a pris soin d'enlever, de temps en temps, sur les meubles d’une maison abandonnée.
La nuit tombait et tout était inondé par des couleurs éteintes, vieillies, transhumantes. Le regard d’Onel, ses yeux et ses mains semblaient vieillir avec le soir.

OK.

Jordane ?

Tradabordo a dit…

Par moment, Onel regardait ses mains comme on regarde les pierres, comme on regarde la poussière que personne n’a pris soin d'enlever, de temps en temps, sur les meubles d’une maison abandonnée.
La nuit tombait et tout était inondé par des couleurs éteintes, vieillies, transhumantes. Le regard d’Onel, ses yeux et ses mains semblaient vieillir avec le soir.

OK.

Jordane ?

Unknown a dit…

Ok.