jeudi 29 janvier 2015

Projet Ludivine / Élise – phrases 70-74

Cada tarde, al salir del colegio, Roberto se dirigía al escaparate para admirar su coche. Se detenía allí enfrente, la cartera a la espalda, y lo miraba. Durante quince o veinte minutos, a veces más. Después de algún tiempo, el dueño comenzó a fijarse en el chico que visitaba a diario su tienda sin llegar a entrar jamás, y observó que era el coche el objeto de su atención. No dijo nada, sin embargo, hasta después de más de un mes. Un buen día salió a la puerta y preguntó:
Es bonito, ¿verdad?

Traduction temporaire :
Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, parfois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant avait commencé à prêter attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et il avait remarqué que la voiture était l'objet de son attention. Il avait eu beau ne rien dire pendant un peu plus d'un mois environ, un jour, il était sorti à la porte et avait demandé :

― Elle est jolie, pas vraie ?

17 commentaires:

Unknown a dit…

Chaque soir, en sortant du collège, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il s'arrêtait là, juste en face, son cartable sur le dos, et il la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, des fois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant commença à faire attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et observa que c'était la voiture, l'objet de son attention. Il ne dit rien, néanmoins, jusqu'à un peu plus d'un mois environ. Un beau jour il sortit à la porte et demanda:

Unknown a dit…

Chaque soir, en sortant du collège, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il s'arrêtait là, juste en face, son cartable sur le dos, et il la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, des fois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant commença à faire attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et observa que c'était la voiture, l'objet de son attention. Il ne dit rien, néanmoins, jusqu'à un peu plus d'un mois environ. Un beau jour il sortit à la porte et demanda:

Tradabordo a dit…

Rétablissez vos espaces.

Unknown a dit…

Chaque soir, en sortant du collège, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il s'arrêtait là, juste en face, son cartable sur le dos, et il la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, des fois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant commença à faire attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et observa que c'était la voiture, l'objet de son attention. Il ne dit rien, néanmoins, jusqu'à un peu plus d'un mois environ. Un beau jour il sortit à la porte et demanda :
― Elle est jolie, pas vraie ?

Tradabordo a dit…

Chaque soir, en sortant du collège [« école » ?], Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il s'arrêtait [« se postait » ?] là, juste en face, son cartable sur le dos, et il la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, des fois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant commença à faire attention [une solution sans « faire »] au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et observa que c'était la voiture, l'objet de son attention [à partir de « c'était », ça manque de fluidité… Ce sera sans doute mieux sans le « c'était »]. Il ne dit rien [passez par « avoir beau »], néanmoins, jusqu'à un peu plus d'un mois environ. Un beau jour il sortit à la porte et demanda :
― Elle est jolie, pas vraie ?

Unknown a dit…

Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et il la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, des fois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant commença à prendre garde du petit garçon qui venait quotidiennement admirer (j'ai enlevé "regarder" car avec "prendre garde" ça fait répétitif) sa boutique sans jamais y entrer, et observa que la petite voiture, représentait l'objet de son attention. Il n'avait beau rien dire, néanmoins, jusqu'à un peu plus d'un mois environ. Un beau jour il sortit à la porte et demanda :
― Elle est jolie, pas vraie ?

Unknown a dit…

Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et il la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, des fois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant commença à prêter attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et remarqua que la voiture était l'objet de son attention. Il eut beau ne rien dire, néanmoins, jusqu'à un peu plus d'un mois environ. Un beau jour il sortit à la porte et demanda : 
― Elle est jolie, pas vraie ?

Unknown a dit…

Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et il la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, des fois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant commença à prendre garde du petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et observa que la voiture, représentait l'objet de son attention. Il n'a eu beau rien dire, néanmoins, jusqu'à un peu plus d'un mois environ. Un beau jour il sortit à la porte et demanda :
― Elle est jolie, pas vraie ?

Tradabordo a dit…

Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et il [nécessaire ?] la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, des fois [oral // préférez « parfois »] un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant commença [PQP ?] à prêter attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et remarqua [PQP ?] que la voiture était l'objet de son attention. Il eut [PQP ?] beau ne rien dire, néanmoins [pas nécessaire puisqu'on a « avoir beau »], jusqu'à un peu plus d'un mois environ. Un beau jour [VIRGULE] il sortit [PQP ?] à la porte et demanda [PQP ?] :
― Elle est jolie, pas vraie ?

Unknown a dit…

Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, parfois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant avait commencé à prêter attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et avait remarqué que la voiture était l'objet de son attention. Il avait eu beau ne rien dire, jusqu'à un peu plus d'un mois environ. Un beau jour, il était sorti à la porte et avait demandé :
― Elle est jolie, pas vraie ?

Unknown a dit…

Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, parfois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant avait commencé à prêter attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et avait remarqué que la voiture était l'objet de son attention. Il avait eu beau ne rien dire jusqu'à un peu plus d'un mois environ, un beau jour, il était sorti à la porte et avait demandé :
― Elle est jolie, pas vraie ?

Tradabordo a dit…

Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, parfois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant avait commencé à prêter attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et avait remarqué que la voiture était l'objet de son attention. Il avait eu beau ne rien dire, jusqu'à un peu plus d'un mois environ [la fin manque un peu de clarté]. Un beau [vous l'avez déjà dans la phrase d'avant] jour, il était sorti à la porte et [« lui » ? Comme vous voulez] avait demandé :
― Elle est jolie, pas vraie ?

Unknown a dit…

Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, parfois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant avait commencé à prêter attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et avait remarqué que la voiture était l'objet de son attention. Il avait eu beau ne rien dire pendant un peu plus d'un mois environ,.un jour, il était sorti à la porte et avait demandé :
― Elle est jolie, pas vraie ?

Tradabordo a dit…

Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, parfois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant avait commencé à prêter attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et avait remarqué que la voiture était l'objet de son attention. Il avait eu beau ne rien dire pendant un peu plus d'un mois environ,.un [coquille] jour, il était sorti à la porte et avait demandé :
― Elle est jolie, pas vraie ?

Unknown a dit…

Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, parfois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant avait commencé à prêter attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et avait remarqué que la voiture était l'objet de son attention. Il avait eu beau ne rien dire pendant un peu plus d'un mois environ, un jour, il était sorti à la porte et avait demandé :
― Elle est jolie, pas vraie ?

Tradabordo a dit…

Chaque soir, en sortant de l'école, Roberto se dirigeait vers la vitrine pour admirer sa voiture. Il se postait là, juste en face, son cartable sur le dos, et la regardait. Pendant quinze à vingt minutes, parfois un peu plus. Au bout d'un certain temps, le commerçant avait commencé à prêter attention au petit garçon qui venait quotidiennement regarder sa boutique sans jamais y entrer, et il avait remarqué que la voiture était l'objet de son attention. Il avait eu beau ne rien dire pendant un peu plus d'un mois environ, un jour, il était sorti à la porte et avait demandé :
― Elle est jolie, pas vraie ?

OK.

Elise ?

Unknown a dit…

Cette traduction me convient.