vendredi 23 janvier 2015

Projet Marie-G. 3 – phrases 60-64

Cuando se están yendo, el que rema me saluda con un despiste simpático. Inclina la cabeza, como si yo fuera otra embarcación. El otro no hace ningún gesto, sólo comenta que el río está bajando. El cuerpo de Ana se tensa en cada movimiento.

Traduction temporaire :
Lorsqu'ils partent, celui qui rame me salue avec une maladresse sympathique. Il penche la tête, comme si j'étais une autre embarcation. L'autre ne bouge pas, se contente de faire remarquer que le fleuve est en train de baisser. Le corps d'Ana se raidit à chaque mouvement.

9 commentaires:

Maria a dit…

En partant, celui qui rame me salue avec une maladresse sympathique. Il incline la tête, comme si j'étais une autre embarcation. L'autre ne fait aucun geste, il fait juste remarquer que le fleuve est en train de baisser. Le corps d'Ana se tend à chaque mouvement.

Tradabordo a dit…

En partant [embêtant, à mon avis, de supprimer la marque du pluriel], celui qui rame me salue avec une maladresse sympathique. Il incline [ou « penche » ? Comme tu veux…] la tête, comme si j'étais une autre embarcation. L'autre ne fait aucun geste, il fait [un moyen d'éviter les deux « faire » ?] juste remarquer que le fleuve est en train de baisser. Le corps d'Ana se tend [ou « raidit » ?] à chaque mouvement.

Tradabordo a dit…

En partant [embêtant, à mon avis, de supprimer la marque du pluriel], celui qui rame me salue avec une maladresse sympathique. Il incline [ou « penche » ? Comme tu veux…] la tête, comme si j'étais une autre embarcation. L'autre ne fait aucun geste, il fait [un moyen d'éviter les deux « faire » ?] juste remarquer que le fleuve est en train de baisser. Le corps d'Ana se tend [ou « raidit » ?] à chaque mouvement.

Maria a dit…

Lorsqu'ils partent, celui qui rame me salue avec une maladresse sympathique. Il penche la tête, comme si j'étais une autre embarcation. L'autre n'effectue aucun geste, il fait juste remarquer que le fleuve est en train de baisser. Le corps d'Ana se raidit à chaque mouvement.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'ils partent, celui qui rame me salue avec une maladresse sympathique. Il penche la tête, comme si j'étais une autre embarcation. L'autre n'effectue [naturel ?] aucun geste, il fait juste remarquer que le fleuve est en train de baisser. Le corps d'Ana se raidit à chaque mouvement.

Maria a dit…

Lorsqu'ils partent, celui qui rame me salue avec une maladresse sympathique. Il penche la tête, comme si j'étais une autre embarcation. L'autre ne bouge pas, il fait juste remarquer que le fleuve est en train de baisser. Le corps d'Ana se raidit à chaque mouvement.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'ils partent, celui qui rame me salue avec une maladresse sympathique. Il penche la tête, comme si j'étais une autre embarcation. L'autre ne bouge pas, il fait juste [« se contente de faire… » ? Comme tu préfères] remarquer que le fleuve est en train de baisser. Le corps d'Ana se raidit à chaque mouvement.

Maria a dit…

Lorsqu'ils partent, celui qui rame me salue avec une maladresse sympathique. Il penche la tête, comme si j'étais une autre embarcation. L'autre ne bouge pas, il se contente de faire remarquer que le fleuve est en train de baisser. Le corps d'Ana se raidit à chaque mouvement.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'ils partent, celui qui rame me salue avec une maladresse sympathique. Il penche la tête, comme si j'étais une autre embarcation. L'autre ne bouge pas, se contente de faire remarquer que le fleuve est en train de baisser. Le corps d'Ana se raidit à chaque mouvement.

OK.