vendredi 23 janvier 2015

Projet Sonita 17 – phrases 374-386

No. Se ahoga. Fuera de sí hay sólo autos que corren a toda velocidad. El ruido es del infierno. Por fin grita, sudoroso y muerto de frío. Su voz se pierde. Los autos pululan bajo el puente: es su rugido un zarpazo en los oídos, en la cabeza, en el cuerpo. No habla: sólo aúlla, no ve a nadie. ¿E Iván? ¿Qué será de él? El frío le arranca las vértebras. Se pone de pie, busca jalar la malla con las manos: «¡Iván!», grita.

Traduction temporaire :
Non. Il étouffe. À part lui, il y a uniquement des voitures qui roulent à toute vitesse. C'est le bruit de l'enfer. Enfin, il crie, en sueur et mort de froid. Sa voix se perd. Les voitures pullulent sous le pont : son hurlement est un coup de griffe dans les oreilles, dans la tête, dans le corps. Il ne parle pas : il ne fait que hurler, il ne voit personne. Et Iván ? Qu'en est-il de lui ? Le froid lui arrache les vertèbres. Il se met debout, il cherche à enlever le grillage avec ses mains : « Iván ! », crie-t-il.

7 commentaires:

Sonita a dit…

Non. Il se noie. À part lui, il y a uniquement des voitures qui roulent à toute vitesse. C'est le bruit de l'enfer. Il crie, enfin, en sueur et mort de froid. Sa voix se perd. Les voitures pullulent sous le pont : son hurlement est un coup de griffe aux oreilles, à la tête, au corps. Il ne parle pas : il ne fait que hurler, il ne voit personne. Et Iván ? Qu'en est-il de lui ? Le froid lui arrache les vertèbres. Il se met debout, il cherche à enlever le grillage avec les mains : « Iván ! », crie-t-il.

Tradabordo a dit…

Non. Il se noie [ou « s'étouffe » ? J'hésite]. À part lui, il y a uniquement des voitures qui roulent à toute vitesse. C'est le bruit de l'enfer. Il crie, enfin [mets-le au début], en sueur et mort de froid. Sa voix se perd. Les voitures pullulent sous le pont : son hurlement est un coup de griffe aux [« dans les »] oreilles, à [idem] la tête, au [idem] corps. Il ne parle pas : il ne fait que hurler, il ne voit personne. Et Iván ? Qu'en est-il de lui ? Le froid lui arrache les vertèbres. Il se met debout, il cherche à enlever le grillage avec les [possessif] mains : « Iván ! », crie-t-il.

Sonita a dit…

Pour "se ahoga" je pense que tu as raison sur le verbe, mais peut-être qu'au lieu d'utiliser "se", qui sous-entend qu'il a avalé quelque chose de travers, on devrait l'enlever car c'est la situation qu'il vit qui l'étouffe. Qu'en dis-tu ?
***
Non. Il étouffe. À part lui, il y a uniquement des voitures qui roulent à toute vitesse. C'est le bruit de l'enfer. Enfin, il crie, en sueur et mort de froid. Sa voix se perd. Les voitures pullulent sous le pont : son hurlement est un coup de griffe dans les oreilles, dans la tête, dans le corps. Il ne parle pas : il ne fait que hurler, il ne voit personne. Et Iván ? Qu'en est-il de lui ? Le froid lui arrache les vertèbres. Il se met debout, il cherche à enlever le grillage avec ses mains : « Iván ! », crie-t-il.

Tradabordo a dit…

Non. Il étouffe. À part lui, il y a uniquement des voitures qui roulent à toute vitesse. C'est le bruit de l'enfer. Enfin, il crie, en sueur et mort de froid. Sa voix se perd. Les voitures pullulent sous le pont : son hurlement est un coup de griffe dans les oreilles, dans la tête, dans le corps. Il ne parle pas : il ne fait que hurler, il ne voit personne. Et Iván ? Qu'en est-il de lui ? Le froid lui arrache les vertèbres. Il se met debout, il cherche à enlever le grillage avec ses mains : « Iván ! », crie-t-il.

OK.

Tradabordo a dit…

Non. Il étouffe. À part lui, il y a uniquement des voitures qui roulent à toute vitesse. C'est le bruit de l'enfer. Enfin, il crie, en sueur et mort de froid. Sa voix se perd. Les voitures pullulent sous le pont : son hurlement est un coup de griffe dans les oreilles, dans la tête, dans le corps. Il ne parle pas : il ne fait que hurler, il ne voit personne. Et Iván ? Qu'en est-il de lui ? Le froid lui arrache les vertèbres. Il se met debout, il cherche à enlever le grillage avec ses mains : « Iván ! », crie-t-il.

OK.

Tradabordo a dit…

Non. Il étouffe. À part lui, il y a uniquement des voitures qui roulent à toute vitesse. C'est le bruit de l'enfer. Enfin, il crie, en sueur et mort de froid. Sa voix se perd. Les voitures pullulent sous le pont : son hurlement est un coup de griffe dans les oreilles, dans la tête, dans le corps. Il ne parle pas : il ne fait que hurler, il ne voit personne. Et Iván ? Qu'en est-il de lui ? Le froid lui arrache les vertèbres. Il se met debout, il cherche à enlever le grillage avec ses mains : « Iván ! », crie-t-il.

OK.

Sonita a dit…

:-)