lundi 23 février 2015

Projet Hélène / Chloé – phrases 123-130


Las olas en los pulmones, la alarma se dispara y vienen enfermeras corriendo. Señorita, usted tiene que salir del cuarto. Tubos y jeringas, un respirador, el sonido inconfundible… Sabes que él nunca te soltará cuando te dice que ya están muy adentro y que es mejor salir. Y sonríe mostrándote su dentadura perfecta. Su sonrisa es una invitación. No, papi, todavía falta mucho, vamos a dejar a todos atrás, vamos hasta los pescadores. Él te sostiene y siguen entrando hasta cruzar la línea donde nace la primera fila de olas.

Traduction temporaire :
Les vagues dans les poumons, l'alarme se déclenche et des infirmières arrivent en courant. Mademoiselle, vous devez sortir de la chambre. Des tubes et des seringues, un respirateur, le bruit caractéristique… Tu sais qu'il ne te lâchera jamais lorsqu'il te dit que vous êtes maintenant très au large et qu'il vaut mieux sortir. Et il sourit en te montrant sa dentition parfaite. Son sourire est une invitation. Non, papa, il reste encore beaucoup de chemin, laissons-les derrière nous, allons jusqu'aux pêcheurs. Il te tient et vous continuez à avancer, jusqu'à franchir la ligne où naît la première rangée de vagues.

9 commentaires:

Mme B. a dit…

Les vagues dans les poumons, l'alarme se déclenche et des infirmières arrivent en courant. Mademoiselle, vous devez sortir de la chambre. Des tubes et des piqûres, un respirateur, le bruit caractéristique… Tu sais qu'il ne te lâchera jamais lorsqu'il te dit qu'ils sont maintenant très loin et qu'il vaut mieux sortir. Et il sourit en te montrant sa dentition parfaite. Son sourire est une invitation. Non, papa, il reste encore beaucoup de chemin, laissons-les derrière nous, allons jusqu'aux pêcheurs. Il te tient et vous continuez à avancer jusqu'à franchir la ligne où naît la première rangée de vagues.

Tradabordo a dit…

Les vagues dans les poumons, l'alarme se déclenche et des infirmières arrivent en courant. Mademoiselle, vous devez sortir de la chambre. Des tubes et des piqûres [ici, plutôt « seringues », non ?], un respirateur, le bruit caractéristique… Tu sais qu'il ne te lâchera jamais lorsqu'il te dit qu'ils sont maintenant très loin [on le loupe pas un peu de sens, là ?] et qu'il vaut mieux sortir. Et il sourit en te montrant sa dentition parfaite. Son sourire est une invitation. Non, papa, il reste encore beaucoup de chemin, laissons-les derrière nous, allons jusqu'aux pêcheurs. Il te tient et vous continuez à avancer [virgule] jusqu'à franchir la ligne où naît la première rangée de vagues.

Mme B. a dit…

Les vagues dans les poumons, l'alarme se déclenche et des infirmières arrivent en courant. Mademoiselle, vous devez sortir de la chambre. Des tubes et des seringues, un respirateur, le bruit caractéristique… Tu sais qu'il ne te lâchera jamais lorsqu'il te dit qu'ils sont maintenant très au large et qu'il vaut mieux sortir. Et il sourit en te montrant sa dentition parfaite. Son sourire est une invitation. Non, papa, il reste encore beaucoup de chemin, laissons-les derrière nous, allons jusqu'aux pêcheurs. Il te tient et vous continuez à avancer, jusqu'à franchir la ligne où naît la première rangée de vagues.

Tradabordo a dit…

Les vagues dans les poumons, l'alarme se déclenche et des infirmières arrivent en courant. Mademoiselle, vous devez sortir de la chambre. Des tubes et des seringues, un respirateur, le bruit caractéristique… Tu sais qu'il ne te lâchera jamais lorsqu'il te dit qu'ils sont maintenant très au large et qu'il vaut mieux sortir [« s'en aller » ? J'hésite sur l'interprétation…]. Et il sourit en te montrant sa dentition parfaite. Son sourire est une invitation. Non, papa, il reste encore beaucoup de chemin, laissons-les derrière nous, allons jusqu'aux pêcheurs. Il te tient et vous continuez à avancer, jusqu'à franchir la ligne où naît la première rangée de vagues.

Hélène a dit…

Les vagues dans les [possessif ?] poumons, l'alarme se déclenche et des infirmières arrivent en courant. Mademoiselle, vous devez sortir de la chambre. Des tubes et des seringues, un respirateur, le bruit caractéristique… Tu sais qu'il ne te lâchera jamais lorsqu'il te dit qu'ils sont [ou "que vous êtes" ?]maintenant très au large et qu'il vaut mieux sortir [« s'en aller » ? J'hésite sur l'interprétation… // Je préfère la première solu ; on dit bien "sortir de l'eau"]. Et [nécessaire ?] il sourit en te montrant sa dentition parfaite. Son sourire est une invitation. Non, papa, il reste encore beaucoup de chemin, laissons-les derrière nous, allons jusqu'aux pêcheurs. Il te tient et vous continuez à avancer, jusqu'à franchir la ligne où naît la première rangée de vagues.

Tradabordo a dit…

Chloé, je te laisse évaluer ce que propose Hélène… Puis faites le tri et proposez-moi un version commune.

Mme B. a dit…

Je recolle car j'ai l'impression que mon navigateur me joue encore des tours....

Les vagues dans les [possessif ?// Je pense que l'article défini permet justement de rendre la distance] poumons, l'alarme se déclenche et des infirmières arrivent en courant. Mademoiselle, vous devez sortir de la chambre. Des tubes et des seringues, un respirateur, le bruit caractéristique… Tu sais qu'il ne te lâchera jamais lorsqu'il te dit vous êtes maintenant très au large et qu'il vaut mieux sortir. Et il sourit en te montrant sa dentition parfaite. Son sourire est une invitation. Non, papa, il reste encore beaucoup de chemin, laissons-les derrière nous, allons jusqu'aux pêcheurs. Il te tient et vous continuez à avancer, jusqu'à franchir la ligne où naît la première rangée de vagues.

Tradabordo a dit…

Les vagues dans les poumons, l'alarme se déclenche et des infirmières arrivent en courant. Mademoiselle, vous devez sortir de la chambre. Des tubes et des seringues, un respirateur, le bruit caractéristique… Tu sais qu'il ne te lâchera jamais lorsqu'il te dit vous êtes maintenant très au large et qu'il vaut mieux sortir. Et il sourit en te montrant sa dentition parfaite. Son sourire est une invitation. Non, papa, il reste encore beaucoup de chemin, laissons-les derrière nous, allons jusqu'aux pêcheurs. Il te tient et vous continuez à avancer, jusqu'à franchir la ligne où naît la première rangée de vagues.

OK.

Hélène ?

Hélène a dit…

Les vagues dans les poumons, l'alarme se déclenche et des infirmières arrivent en courant. Mademoiselle, vous devez sortir de la chambre. Des tubes et des seringues, un respirateur, le bruit caractéristique… Tu sais qu'il ne te lâchera jamais lorsqu'il te dit que vous êtes maintenant très au large et qu'il vaut mieux sortir. Et il sourit en te montrant sa dentition parfaite. Son sourire est une invitation. Non, papa, il reste encore beaucoup de chemin, laissons-les derrière nous, allons jusqu'aux pêcheurs. Il te tient et vous continuez à avancer, jusqu'à franchir la ligne où naît la première rangée de vagues.

OK. J'ai juste ajouté le relatif "que vous êtes" qui manquait.