vendredi 20 mars 2015

Projet Fanny / Laura – phrases 66-71

Tras pocos meses parecía que se conocían de años. Josef se adelantaba a todos los caprichos y gustos de la chica, la mimaba como si de una reina se tratase, y cada día tenía una sonrisa para ella. Roslin se dejaba querer y se dedicaba a sus estudios. Quizá fuese el sexto sentido femenino. También podéis llamarlo intuición, gusto por los detalles o simplemente tener la mosca detrás de la oreja… el caso es que había algo raro en aquella relación. Roslin lo veía, pero no era capaz de definir exactamente qué era.

Traduction temporaire :
Après quelques mois seulement, on aurait dit qu'ils se connaissaient depuis des années. Josef devançait tous les caprices et les envies de la jeune fille, la gâtait comme une reine et avait chaque jour un sourire pour elle. Roslin se laissait aimer et se consacrait à ses études. Peut-être qu'il était question de sixième sens féminin. Appelez ça intuition, goût pour les détails ou simplement avoir la puce à l'oreille… Le fait est qu'il y avait quelque chose de bizarre dans cette relation. Roslin le sentait, mais n'était pas capable de définir exactement de quoi il s'agissait.

7 commentaires:

Fanny JAY a dit…

Après quelques mois, on aurait dit qu'ils se connaissaient depuis des années. Josef devançait tous les caprices et les envies de la jeune fille, il la gâtait comme s'il s'agissait d'une reine et, chaque jour, avait un sourire pour elle. Roslin se laissait aimer et se consacrait à ses études. Peut-être que c'était le sixième sens féminin. Vous pouvez aussi l'appeler intuition, goût pour les détails ou simplement avoir la puce à l'oreille… Le fait est qu'il y avait quelque chose de particulier dans cette relation. Roslin le sentait mais n'était pas capable de définir exactement ce que c'était.

Tradabordo a dit…

Après quelques mois [là, vous ne rendez pas l'idée contenue dans « pocos »], on aurait dit qu'ils se connaissaient depuis des années. Josef devançait tous les caprices et les envies de la jeune fille, il [nécessaire ?] la gâtait comme s'il s'agissait d'[nécessaire ?]une reine et, chaque jour [si vous le placez après, ça évitera les virgules], avait un sourire pour elle. Roslin [cheville : « , elle, » ? Comme vous voulez] se laissait aimer et se consacrait à ses études. Peut-être que c'était [il y a une solution sans « c'était »] le sixième sens féminin. Vous pouvez aussi l'appeler [ou : « appeler cela » ?] intuition, goût pour les détails ou simplement avoir la puce à l'oreille… Le fait est qu'il y avait quelque chose de particulier [trop flou par rapport à ce que dit la V.O.] dans cette relation. Roslin le sentait [VIRGULE] mais n'était pas capable de définir exactement ce que c'était [« de quoi il s'agissait » ?].

Fanny JAY a dit…

Après peu de mois, on aurait dit qu'ils se connaissaient depuis des années. Josef devançait tous les caprices et les envies de la jeune fille, la gâtait comme une reine et avait un sourire pour elle, chaque jour. Roslin se laissait aimer et se consacrait à ses études. Peut-être qu'elle avait le sixième sens féminin. Appelez ça intuition, goût pour les détails ou simplement avoir la puce à l'oreille… Le fait est qu'il y avait quelque chose de bizarre dans cette relation. Roslin le sentait, mais n'était pas capable de définir exactement de quoi il s'agissait.

Tradabordo a dit…

Après peu de mois [manque de naturel ; la version précédente + chevilles aurait été mieux, à mon avis], on aurait dit qu'ils se connaissaient depuis des années. Josef devançait tous les caprices et les envies de la jeune fille, la gâtait comme une reine et avait un sourire pour elle, chaque jour [pas génial, rejeté à la fin]. Roslin se laissait aimer et se consacrait à ses études. Peut-être qu'elle [pas elle… En général ; à mettre sur le compte de…] avait le sixième sens féminin. Appelez ça intuition, goût pour les détails ou simplement avoir la puce à l'oreille… Le fait est qu'il y avait quelque chose de bizarre dans cette relation. Roslin le sentait, mais n'était pas capable de définir exactement de quoi il s'agissait.

Fanny JAY a dit…

Après quelques mois seulement, on aurait dit qu'ils se connaissaient depuis des années. Josef devançait tous les caprices et les envies de la jeune fille, la gâtait comme une reine et avait, chaque jour, un sourire pour elle. Roslin se laissait aimer et se consacrait à ses études. Peut-être qu'il était question de sixième sens féminin. Appelez ça intuition, goût pour les détails ou simplement avoir la puce à l'oreille… Le fait est qu'il y avait quelque chose de bizarre dans cette relation. Roslin le sentait, mais n'était pas capable de définir exactement de quoi il s'agissait.

Tradabordo a dit…

Après quelques mois seulement, on aurait dit qu'ils se connaissaient depuis des années. Josef devançait tous les caprices et les envies de la jeune fille, la gâtait comme une reine et avait chaque jour un sourire pour elle. Roslin se laissait aimer et se consacrait à ses études. Peut-être qu'il était question de sixième sens féminin. Appelez ça intuition, goût pour les détails ou simplement avoir la puce à l'oreille… Le fait est qu'il y avait quelque chose de bizarre dans cette relation. Roslin le sentait, mais n'était pas capable de définir exactement de quoi il s'agissait.

Avec une petite modif de ponctuation, c'est OK.

Laura ?

Laura CALLIOT a dit…

OK