lundi 23 mars 2015

Projet Fanny / Laura – phrases 72-76

Era algo relativo a la forma en la que su chico siempre se adelantaba a sus pensamientos, o cómo parecía saber todos sus gustos, su pasado, incluso si alguien a quien acababan de conocer iba a caerle bien o no. Cuando iban de compras juntos, Josef sabía exactamente qué vestido le gustaría a ella para cualquier ocasión. En los restaurantes se anticipaba a lo que pediría sólo con echar un vistazo a la carta. Parecía conocerla más que ella a sí misma. No es que le agobiase, ni que decidiese por ella, pero siempre acertaba, como si pudiese meterse dentro de su cabeza, como si le leyese los pensamientos, y a veces eso le resultaba bastante siniestro.

Traduction temporaire :
Cela venait de la manière dont son copain devançait systématiquement ses pensées, où de comment il semblait tout savoir de ses goûts, de son passé, et même si quelqu'un qu'ils venaient de rencontrer allait lui plaire ou non. Quand ils allaient faire des courses ensemble, Joseph savait exactement quelle robe elle aimerait pour la moindre occasion. Au restaurant, il devinait ce qu'elle allait commander rien qu'en jetant un coup d’œil à la carte. Il semblait la connaître mieux qu'elle-même. Ce n'est pas qu'il l'étouffait ou qu'il décidait pour elle, mais il ne se trompait jamais, comme s'il pouvait entrer dans sa tête, comme s'il lisait dans ses pensées, et parfois, cela était assez sinistre. 

7 commentaires:

Laura CALLIOT a dit…

Cela venait de la manière dont son copain devançait systématiquement ses pensées, où de comment il semblait tout savoir de ses goûts, de son passé, et même si quelqu'un qu'ils venaient de rencontrer lui plaisait ou non. Quand ils allaient faire des courses ensemble, Joseph savait exactement quel vêtement elle aimerait pour n'importe quelle occasion. Au restaurant, il devinait ce qu'elle allait commander seulement en jetant un bref coup d’œil à la carte. Il semblait la connaître mieux qu'elle même. Ce n'est pas qu'il l'accablait ou qu'il décidait pour elle, mais il tapait toujours dans le mille, comme s'il pouvait entrer dans sa tête, comme s'il lisait dans ses pensées, et parfois cela était assez sinistre.

Tradabordo a dit…

Cela venait de la manière dont son copain devançait systématiquement ses pensées, où de comment il semblait tout savoir de ses goûts, de son passé, et même si quelqu'un qu'ils venaient de rencontrer lui plaisait [temps / texte] ou non. Quand ils allaient faire des courses ensemble, Joseph savait exactement quel vêtement [FS] elle aimerait pour n'importe [« la moindre » ? J'hésite…] quelle occasion. Au restaurant, il devinait ce qu'elle allait commander seulement [« rien qu' »] en jetant un bref [nécessaire ?] coup d’œil à la carte. Il semblait la connaître mieux qu'elle même [tiret]. Ce n'est pas qu'il l'accablait [FS ici] ou qu'il décidait pour elle, mais il tapait toujours dans le mille [pas une expression en V.O.], comme s'il pouvait entrer dans sa tête, comme s'il lisait dans ses pensées, et parfois [virgule] cela était assez sinistre.

Fanny JAY a dit…

Cela venait de la manière dont son copain devançait systématiquement ses pensées, où de comment il semblait tout savoir de ses goûts, de son passé, et même si quelqu'un qu'ils venaient de rencontrer allait lui plaire ou non. Quand ils allaient faire des courses ensemble, Joseph savait exactement quelle robe elle aimerait pour la moindre occasion. Au restaurant, il devinait ce qu'elle allait commander rien qu'en jetant un coup d’œil à la carte. Il semblait la connaître mieux qu'elle-même. Ce n'est pas qu'il la fatiguait ou qu'il décidait pour elle, mais il choisissait toujours bien, comme s'il pouvait entrer dans sa tête, comme s'il lisait dans ses pensées, et parfois, cela était assez sinistre.

Tradabordo a dit…

Cela venait de la manière dont son copain devançait systématiquement ses pensées, où de comment il semblait tout savoir de ses goûts, de son passé, et même si quelqu'un qu'ils venaient de rencontrer allait lui plaire ou non. Quand ils allaient faire des courses ensemble, Joseph savait exactement quelle robe elle aimerait pour la moindre occasion. Au restaurant, il devinait ce qu'elle allait commander rien qu'en jetant un coup d’œil à la carte. Il semblait la connaître mieux qu'elle-même. Ce n'est pas qu'il la fatiguait [« l'étouffait » ?] ou qu'il décidait pour elle, mais il choisissait toujours bien [« ne se trompait jamais »], comme s'il pouvait entrer dans sa tête, comme s'il lisait dans ses pensées, et parfois, cela était assez sinistre.

Fanny JAY a dit…

Cela venait de la manière dont son copain devançait systématiquement ses pensées, où de comment il semblait tout savoir de ses goûts, de son passé, et même si quelqu'un qu'ils venaient de rencontrer allait lui plaire ou non. Quand ils allaient faire des courses ensemble, Joseph savait exactement quelle robe elle aimerait pour la moindre occasion. Au restaurant, il devinait ce qu'elle allait commander rien qu'en jetant un coup d’œil à la carte. Il semblait la connaître mieux qu'elle-même. Ce n'est pas qu'il l'étouffait ou qu'il décidait pour elle, mais il ne se trompait jamais, comme s'il pouvait entrer dans sa tête, comme s'il lisait dans ses pensées, et parfois, cela était assez sinistre.

Tradabordo a dit…

Cela venait de la manière dont son copain devançait systématiquement ses pensées, où de comment il semblait tout savoir de ses goûts, de son passé, et même si quelqu'un qu'ils venaient de rencontrer allait lui plaire ou non. Quand ils allaient faire des courses ensemble, Joseph savait exactement quelle robe elle aimerait pour la moindre occasion. Au restaurant, il devinait ce qu'elle allait commander rien qu'en jetant un coup d’œil à la carte. Il semblait la connaître mieux qu'elle-même. Ce n'est pas qu'il l'étouffait ou qu'il décidait pour elle, mais il ne se trompait jamais, comme s'il pouvait entrer dans sa tête, comme s'il lisait dans ses pensées, et parfois, cela était assez sinistre.

OK.

Laura ?

Laura Calliot a dit…

ok