mardi 31 mars 2015

Projet Justine / Nadia / Elise – phrases 262-265

Su último mes, marzo, lo pensaba pasar, como de costumbre, en La Punta. El Pato estaba en cuarto de media. Tenía el cabello rubio cenizo y una sonrisa simpática, natural, despreocupada, que lo ponía siempre por encima de todo. Era casi como ese tío increíble que aparecía en los carteles de publicidad fumándose un Camel en la cumbre de una montaña.
Además, el prestigio del Pato rozaba el cielo:

Traduction temporaire :
Il pensait passer le mois de mars – la fin de ses congés – à la Punta, comme d'habitude. Pat était en troisième. Il avait les cheveux blond cendré et un sourire sympathique, naturel, insouciant, qui donnait sans cesse l'impression que tout glissait sur lui. Il était presque comme ce type incroyable qui trônait sur les affiches publicitaires une Camel à la bouche, au sommet d'une montagne. En plus, le prestige de Pat atteignait presque le ciel :

8 commentaires:

Justine a dit…

Son dernier mois de congés, mars, il pensait le passer comme d'habitude à La Punta. Pat était en troisième. Il avait les cheveux blonds cendré et un sourire sympathique, naturel, insouciant, qui donnait toujours l'impression que tout glissait sur lui. Il était presque comme ce mec incroyable qui trônait sur les affiches publicitaires fumant une Camel sur le sommet d'une montagne.
En plus, le prestige de Pat frôlait le ciel :

Tradabordo a dit…

Son dernier mois de congés [pourquoi cet ajout ? Je ne me souviens plus de ce qui précède… donc à toi de m'expliquer si / pourquoi c'est nécessaire], mars, il pensait le passer comme d'habitude à La Punta. Pat était en troisième [tu as vérifié ?]. Il avait les cheveux blonds cendré [entre les deux : grammaire ?] et un sourire sympathique, naturel, insouciant, qui donnait toujours l'impression que tout glissait sur lui. Il était presque comme ce mec incroyable qui trônait sur les affiches publicitaires fumant [avec « en train de » ?] une Camel sur le sommet d'une montagne.
En plus, le prestige de Pat frôlait le ciel [naturel ?] :

Justine a dit…

Ce qui précède c'est « il revenait de deux mois de vacances à Chicago », voilà pourquoi ça me semblait utile d'ajouter de congés »
Oui « cuarto de media » correspond bien à la « troisième » en France.

Son dernier mois de congés , mars, il pensait le passer comme d'habitude à La Punta. Pat était en troisième. Il avait les cheveux blond cendré et un sourire sympathique, naturel, insouciant, qui donnait toujours l'impression que tout glissait sur lui. Il était presque comme ce mec incroyable qui trônait sur les affiches publicitaires en train de fumer une Camel sur le sommet d'une montagne.
En plus, le prestige de Pat atteignait presque le ciel :

Tradabordo a dit…

Son dernier mois de congés, mars [construit le début autrement // là, c'est vraiment pas génial], il pensait le passer comme d'habitude [après] à La Punta. Pat était en troisième. Il avait les cheveux blond cendré et un sourire sympathique, naturel, insouciant, qui donnait toujours [« sans cesse »] l'impression que tout glissait sur lui. Il était presque comme ce mec incroyable qui trônait sur les affiches publicitaires en train de fumer [supprime] une Camel [« à la bouche »] sur le sommet d'une montagne.
En plus, le prestige de Pat atteignait presque le ciel :

Justine a dit…

Il pensait passer le mois de mars – son dernier mois de congés – à la Punta, comme d'habitude. Pat était en troisième. Il avait les cheveux blond cendré et un sourire sympathique, naturel, insouciant, qui donnait sans cesse l'impression que tout glissait sur lui. Il était presque comme ce mec incroyable qui trônait sur les affiches publicitaires une Camel à la bouche, sur le sommet d'une montagne.
En plus, le prestige de Pat atteignait presque le ciel :

Tradabordo a dit…

Il pensait passer le mois de mars – son dernier mois de congés [« la fin de ses congés » ?] – à la Punta, comme d'habitude. Pat était en troisième. Il avait les cheveux blond cendré et un sourire sympathique, naturel, insouciant, qui donnait sans cesse l'impression que tout glissait sur lui. Il était presque comme ce mec [« type »] incroyable qui trônait sur les affiches publicitaires une Camel à la bouche, sur le [« au » ?] sommet d'une montagne.
En plus, le prestige de Pat atteignait presque le ciel :

Justine a dit…

Il pensait passer le mois de mars – la fin de ses congés – à la Punta, comme d'habitude. Pat était en troisième. Il avait les cheveux blond cendré et un sourire sympathique, naturel, insouciant, qui donnait sans cesse l'impression que tout glissait sur lui. Il était presque comme ce type incroyable qui trônait sur les affiches publicitaires une Camel à la bouche, au sommet d'une montagne.
En plus, le prestige de Pat atteignait presque le ciel :

Tradabordo a dit…

Il pensait passer le mois de mars – la fin de ses congés – à la Punta, comme d'habitude. Pat était en troisième. Il avait les cheveux blond cendré et un sourire sympathique, naturel, insouciant, qui donnait sans cesse l'impression que tout glissait sur lui. Il était presque comme ce type incroyable qui trônait sur les affiches publicitaires une Camel à la bouche, au sommet d'une montagne.
En plus, le prestige de Pat atteignait presque le ciel :

OK.