mardi 31 mars 2015

Projet Manuel / Thomas – phrases 110-114

Santiago se sentía pleno, dueño de una íntima certidumbre que siempre le había sido ajena. Desde arriba, todo parecía distinto. Los mil ojos de la noche, menudos y brillantes como salamandras, bullían alrededor de él. Oteó el cielo vasto y limpio y por primera vez creyó entender el mundo, esa vida que se agazapaba bajo la oscuridad, todos esos gritos sofocados, todas esas miradas crispadas, todos esos deseos que aguijoneaban a los hombres. Él velaba el sueño de la ciudad y la noche se desplegaba y le tendía una mano gigantesca para recogerlo y llevarlo por los aires.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

6 commentaires:

Unknown a dit…

Santiago se sentait comblé, propriétaire d’une intime certitude, qui lui avait toujours été étrangère. De là-haut, tout paraissait distinct. Les milles yeux de la nuit bouillonnaient autour de lui, minuscules et brillants comme des salamandres. Il scruta le ciel vaste et dégagé, et pour la première fois, il crut comprendre le monde, cette vie qui se tapissait dans l’obscurité, tous ces cris étouffés, tous ces regards crispés, tous ces désirs qui stimulaient les hommes. Lui, il veillait au sommeil de la ville. La nuit se déployait, et lui tendait une main gigantesque, pour le recueillir, et l’emmener dans les airs.

Tradabordo a dit…

Santiago se sentait comblé, propriétaire [mal dit] d’une intime certitude [dans l'autre sens ? J'hésite], qui lui avait toujours été étrangère. De là-haut [ou « D'en haut » ? Comme vous voulez…], tout paraissait distinct. Les milles [grammaire] yeux de la nuit bouillonnaient autour de lui, minuscules et brillants comme des salamandres. Il scruta le ciel vaste et dégagé, et [virgule] pour la première fois, il crut comprendre le monde, cette vie qui se tapissait dans [FS ?] l’obscurité, tous ces cris étouffés, tous ces regards crispés, tous ces désirs qui stimulaient [littéral ?] les hommes. Lui, il veillait au sommeil de [« sur »] la ville. La nuit se déployait, et lui tendait une main gigantesque, pour le recueillir, [sans la virgule] et l’emmener dans les airs.

Unknown a dit…

Santiago se sentait comblé, maître d’une intime certitude, qui lui avait toujours été étrangère. D'en haut, tout paraissait distinct. Les mille yeux de la nuit bouillonnaient autour de lui, minuscules et brillants comme des salamandres. Il scruta le ciel vaste et dégagé et, pour la première fois, il crut comprendre le monde, cette vie qui se tapissait sous l’obscurité, tous ces cris étouffés, tous ces regards crispés, tous ces désirs qui animaient les hommes. Lui, il veillait sur le sommeil de la ville. La nuit se déployait, et lui tendait une main gigantesque, pour le recueillir et l’emmener dans les airs.

Tradabordo a dit…

Santiago se sentait comblé, maître [« en possession » ?] d’une intime certitude [« conviction » ? J'hésite…], qui lui avait toujours été étrangère. D'en haut, tout paraissait distinct. Les mille yeux de la nuit bouillonnaient autour de lui, minuscules et brillants comme des salamandres. Il scruta le ciel vaste et dégagé et, pour la première fois, il crut comprendre le monde, cette vie qui se tapissait sous l’obscurité, tous ces cris étouffés, tous ces regards crispés, tous ces désirs qui animaient les hommes. Lui, il veillait sur le sommeil de la ville. La nuit se déployait, et lui tendait une main gigantesque, pour le recueillir et l’emmener dans les airs.

Unknown a dit…

Santiago se sentait comblé, en possession d’une intime conviction, qui lui avait toujours été étrangère. D'en haut, tout paraissait distinct. Les mille yeux de la nuit bouillonnaient autour de lui, minuscules et brillants comme des salamandres. Il scruta le ciel vaste et dégagé et, pour la première fois, il crut comprendre le monde, cette vie qui se tapissait sous l’obscurité, tous ces cris étouffés, tous ces regards crispés, tous ces désirs qui animaient les hommes. Lui, il veillait sur le sommeil de la ville. La nuit se déployait, et lui tendait une main gigantesque, pour le recueillir et l’emmener dans les airs.

Tradabordo a dit…

Santiago se sentait comblé, en possession d’une intime conviction, qui lui avait toujours été étrangère. D'en haut, tout paraissait distinct. Les mille yeux de la nuit bouillonnaient autour de lui, minuscules et brillants comme des salamandres. Il scruta le ciel vaste et dégagé et, pour la première fois, il crut comprendre le monde, cette vie qui se tapissait sous l’obscurité, tous ces cris étouffés, tous ces regards crispés, tous ces désirs qui animaient les hommes. Lui, il veillait sur le sommeil de la ville. La nuit se déployait, et lui tendait une main gigantesque, pour le recueillir et l’emmener dans les airs.

OK.

Manuel ?