vendredi 20 mars 2015

Projet Marie / Laura – phrase 58


Marchan veloces y con toda intención hasta ese lugar desde el cual no existe más camino de vuelta que la desnudez, el temblor y un alud de líquidos densos y tibios que hacen todo más fácil, y recuerdo la primera vez, a esa mujer... entonces me pareció que el mundo podría partirse en mil pedazos y ser como una de esas plantas que lanzan sus semillas sin importarles dónde ni cómo caigan, y pensaba que me estaba muriendo, que la presión me descendía rapidísimo y que las cosas parecían salir de mí conciencia disparadas con prisa, espantadas, casi con respeto por lo que estaba sintiendo por primera vez.

Traduction temporaire :
Elles se promènent rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe plus de retour possible que la nudité, le tremblement et une avalanche de liquides épais et tièdes qui facilitent les choses, et je me souviens de la première fois, de cette femme… alors, il m’a semblé que le monde pourrait se briser en mille morceaux et être comme l'une de ces plantes qui jettent leurs graines sans se soucier de où ni de comment elles retombent. Je pensais que j'étais en train de mourir, que la pression en moi baissait très rapidement et que les choses paraissaient sortir de ma conscience, expulsées à toute vitesse, apeurées, presque avec respect vis-à-vis de ce que je ressentais la première fois.

19 commentaires:

Marie a dit…

Ils marchent rapidement et avec grande attention jusqu’à ce lieu duquel il n’existe pas un autre chemin de retour que celui de la nudité, le tremblement et une avalanche de liquides denses et tiède qui rendent les choses plus facile, et je rappelle la première fois, à cette femme... alors il m’a semblé que le monde pourrait se briser en mil morceaux et être comme une de ces plantes qui émettent leurs graines sans se soucier de où ni comment elles tombent. Je pensais que je mourrais, que la pression descendait très rapidement et que les choses paraissaient sortir de ma conscience, expulsées à toute vitesse, lâchées, presque avec respect pour ce que je ressentait la première fois.

Tradabordo a dit…

Ils marchent rapidement et avec grande attention [pas ce que dit la V.O.] [virgule !] jusqu’à ce lieu duquel [mal dit] il n’existe pas un autre [pas ce qui est dit] chemin de retour que celui de la nudité,

Réglez déjà les problèmes de cette section.

le tremblement et une avalanche de liquides denses et tiède qui rendent les choses plus facile, et je rappelle la première fois, à cette femme... alors il m’a semblé que le monde pourrait se briser en mil morceaux et être comme une de ces plantes qui émettent leurs graines sans se soucier de où ni comment elles tombent. Je pensais que je mourrais, que la pression descendait très rapidement et que les choses paraissaient sortir de ma conscience, expulsées à toute vitesse, lâchées, presque avec respect pour ce que je ressentait la première fois.

Unknown a dit…

Elles se promènent rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe plus de retour possible que la nudité,

Tradabordo a dit…

Elles se promènent [pas ce que dit la V.O.] rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe plus [pas ce que dit la V.O.] de retour possible que la nudité,

Marie a dit…

Elles marchent rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe pas d'autre retour possible que la nudité,

Tradabordo a dit…

Elles marchent rapidement, délibérément [ou : « avec détermination » ?], jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe pas d'autre retour possible que la nudité,

Unknown a dit…

Elles marchent rapidement, avec détermination, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe pas d'autre retour possible que la nudité,

Tradabordo a dit…

Elles marchent rapidement, avec détermination, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe pas d'autre retour possible que la nudité,

OK. Vous pouvez ajouter la suite.

Marie a dit…

Elles marchent rapidement, avec détermination, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe pas d'autre retour possible que la nudité, le tremblement et une avalanche de liquides denses et tiède qui rendent les choses plus facile, et je rappelle la première fois, à cette femme... alors il m’a semblé que le monde pourrait se briser en mille morceaux et être comme une de ces plantes qui émettent leurs graines sans se soucier de où ni comment elles tombent. Je pensais que je mourrais, que la pression descendait très rapidement et que les choses paraissaient sortir de ma conscience, expulsées à toute vitesse, lâchées, presque avec respect pour ce que je ressentais la première fois.

Tradabordo a dit…

Elles marchent rapidement, avec détermination, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe pas d'autre retour possible que la nudité, le tremblement et une avalanche de liquides denses et tiède [grammaire] qui rendent les choses plus facile [grammaire], et je [manque quelque chose ici] rappelle la première fois, à [grammaire] cette femme... [raccourci clavier des points de suspension]

Bon je vous laisse reprendre ça et relire la suite… car manifestement, ç'a été fait un peu vite.

alors il m’a semblé que le monde pourrait se briser en mille morceaux et être comme une de ces plantes qui émettent leurs graines sans se soucier de où ni comment elles tombent. Je pensais que je mourrais, que la pression descendait très rapidement et que les choses paraissaient sortir de ma conscience, expulsées à toute vitesse, lâchées, presque avec respect pour ce que je ressentais la première fois.

Unknown a dit…

Elles se promènent rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe plus de retour possible que la nudité, le tremblement et l'avalanche de liquides épais et tièdes qui facilitent les choses, et je me souviens de la première fois, de cette femme…

Tradabordo a dit…

Elles se promènent rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe plus de retour possible que la nudité, le tremblement et l'avalanche de liquides épais et tièdes qui facilitent les choses, et je me souviens de la première fois, de cette femme…

OK. Vous pouvez ajouter la suite.

Marie a dit…

Elles se promènent rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe plus de retour possible que la nudité, le tremblement et l'avalanche de liquides épais et tièdes qui facilitent les choses, et je me souviens de la première fois, de cette femme… alors il m’a semblé que le monde pourrait se briser en mille morceaux et être comme une de ces plantes qui émettent leurs graines sans se soucier de où ni comment elles tombent. Je pensais que je mourais, que la pression descendait très rapidement et que les choses paraissaient sortir de ma conscience, expulsées à toute vitesse, lâchées, presque avec respect pour ce que je ressentais la première fois.

Tradabordo a dit…

Elles se promènent rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe plus de retour possible que la nudité, le tremblement et l'avalanche de liquides épais et tièdes qui facilitent les choses, et je me souviens de la première fois, de cette femme… alors [virgule] il m’a semblé que le monde pourrait se briser en mille morceaux et être comme [« l' » ? Comme vous voulez…] une de ces plantes qui émettent [bizarre, non ?] leurs graines sans se soucier de où ni comment elles tombent. Je pensais que je mourais [peut-être que ce serait quand même pas mal avec une tournure gérondive, non ?], que la [mais et le « me » espagnol ? Là, on ne le rend pas du tout…] pression descendait très rapidement et que les choses paraissaient sortir de ma conscience, expulsées à toute vitesse, lâchées [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux, mais avez regardé dans l'unilingue ?], presque avec respect pour ce que je ressentais la première fois.

Unknown a dit…

Elles se promènent rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe plus de retour possible que la nudité, le tremblement et l'avalanche de liquides épais et tièdes qui facilitent les choses, et je me souviens de la première fois, de cette femme… alors, il m’a semblé que le monde pourrait se briser en mille morceaux et être comme l'une de ces plantes qui jettent leurs graines sans se soucier de où ni comment elles tombent. Je pensais que j'étais en train de mourir, que la pression me quittait très rapidement et que les choses paraissaient sortir de ma conscience, expulsées à toute vitesse, lâchement, presque avec respect pour ce que je ressentais la première fois.

Tradabordo a dit…

Elles se promènent rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe plus de retour possible que la nudité, le tremblement et l'avalanche de liquides épais et tièdes qui facilitent les choses, et je me souviens de la première fois, de cette femme… alors, il m’a semblé que le monde pourrait se briser en mille morceaux et être comme l'une de ces plantes qui jettent leurs graines sans se soucier de où ni [« de »] comment elles tombent [« retombent » ? J'hésite…]. Je pensais que j'étais en train de mourir, que la pression me quittait [vous devez passer par « baisser »] très rapidement et que les choses paraissaient sortir de ma conscience, expulsées à toute vitesse, lâchement [« apeurées » ? Je vous laisse réfléchir…], presque avec respect pour [« vis-à-vis de » ?] ce que je ressentais la première fois.

Unknown a dit…

Elles se promènent rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe plus de retour possible que la nudité, le tremblement et l'avalanche de liquides épais et tièdes qui facilitent les choses, et je me souviens de la première fois, de cette femme… alors, il m’a semblé que le monde pourrait se briser en mille morceaux et être comme l'une de ces plantes qui jettent leurs graines sans se soucier de où ni de comment elles retombent. Je pensais que j'étais en train de mourir, que la pression en moi baissait très rapidement et que les choses paraissaient sortir de ma conscience, expulsées à toute vitesse, apeurées, presque avec respect vis-à-vis de ce que je ressentais la première fois.

Tradabordo a dit…

Elles se promènent rapidement, délibérément, jusqu'à cet endroit depuis lequel il n'existe plus de retour possible que la nudité, le tremblement et l'avalanche de liquides épais et tièdes qui facilitent les choses, et je me souviens de la première fois, de cette femme… alors, il m’a semblé que le monde pourrait se briser en mille morceaux et être comme l'une de ces plantes qui jettent leurs graines sans se soucier de où ni de comment elles retombent. Je pensais que j'étais en train de mourir, que la pression en moi baissait très rapidement et que les choses paraissaient sortir de ma conscience, expulsées à toute vitesse, apeurées, presque avec respect vis-à-vis de ce que je ressentais la première fois.

OK.

Marie ?

Marie a dit…

ok