mardi 28 avril 2015

Projet Émilie 8 – phrases 142-151

Subí a la terraza, pero no pude pasar de la puerta que daba acceso a ella. Veía desde allá lo bastante, sin embargo. Veía y escuchaba. La soledad era absoluta. La crepitación no se interrumpía sino por uno que otro ululato de perro, o explosión anormal. El ambiente estaba rojo; y a su través, troncos, chimeneas, casas, blanqueaban con una lividez tristísima. Los pocos árboles que conservaban follaje retorcíanse, negros, de un negro de estaño. La luz había decrecido un poco, no obstante de persistir la limpidez celeste. El horizonte estaba, esto sí, mucho más cerca, y como ahogado en ceniza. Sobre el lago flotaba un denso vapor, que algo corregía la extraordinaria sequedad del aire.

Traduction temporaire :
Je voulus monter sur la terrasse, sans parvenir à franchir la porte d'accès. Néanmoins, j’étais assez bien placé pour observer. Je regardais et j’écoutais. La solitude était absolue. Le crépitement n'était interrompu que par de rares hurlements de chiens ou explosions anormales. L’atmosphère était rouge ; à travers, des troncs, des cheminées et des maisons blanchissaient avec une lividité sordide. Les quelques arbres qui avaient gardé leur feuillage se tordaient, noirs, d’une noirceur d’étain. La lumière avait légèrement faibli, malgré la persistance de la limpidité céleste. L’horizon, en revanche, semblait beaucoup plus proche, et comme noyé de cendre. Sur le lac flottait une vapeur dense, qui compensait un peu l’extraordinaire sécheresse de l’air.

4 commentaires:

Emilie a dit…

Je montai à la terrasse, sans parvenir à franchir la porte qui y donnait accès. Néanmoins, j’étais assez bien placé pour observer les événements. J’observais et j’écoutais. La solitude était absolue. Le crépitement ne s’interrompait que par de rares hurlements de chiens ou explosions anormales. L’atmosphère était rouge et, à travers elle, des troncs, des cheminées et des maisons blanchissaient d’une lividité sordide. Les quelques arbres qui avaient gardé leur feuillage se tordaient, noirs, d’une noirceur d’étain. La lumière avait légèrement faibli, malgré la persistance de la limpidité céleste. L’horizon, en revanche, semblait beaucoup plus proche, et comme noyé de cendre. Sur le lac flottait une vapeur dense, qui compensait un peu l’extraordinaire sécheresse de l’air.

Tradabordo a dit…

Je montai à [« sur » ? + comme il n'y parvient pas, est-ce qu'on ne devrait pas ajouter quelque chose comme « je voulus » ?] la terrasse, sans parvenir à franchir la porte qui y donnait accès [ou juste : « porte d'accès » ? J'hésite…]. Néanmoins, j’étais assez bien placé pour observer les événements [ajout nécessaire ?]. J’observais [pas très convaincue par la répétition ; je sais qu'elle est en V.O., mais bon… Comme tu veux…] et j’écoutais. La solitude était absolue. Le crépitement ne s’interrompait [« n'était interrompu » ?] que par de rares hurlements de chiens ou explosions anormales. L’atmosphère était rouge et, [un point-virgule à la place ?] à travers elle [nécessaire ?], des troncs, des cheminées et des maisons blanchissaient d’[?]une lividité sordide. Les quelques arbres qui avaient gardé leur feuillage se tordaient, noirs, d’une noirceur d’étain. La lumière avait légèrement faibli, malgré la persistance de la limpidité céleste. L’horizon, en revanche, semblait beaucoup plus proche, et comme noyé de cendre. Sur le lac flottait une vapeur dense, qui compensait un peu l’extraordinaire sécheresse de l’air.

Emilie a dit…

Je voulus monter sur la terrasse, sans parvenir à franchir la porte d'accès. Néanmoins, j’étais assez bien placé pour observer. Je regardais et j’écoutais. La solitude était absolue. Le crépitement n'était interrompu que par de rares hurlements de chiens ou explosions anormales. L’atmosphère était rouge ; à travers, des troncs, des cheminées et des maisons blanchissaient avec une lividité sordide. Les quelques arbres qui avaient gardé leur feuillage se tordaient, noirs, d’une noirceur d’étain. La lumière avait légèrement faibli, malgré la persistance de la limpidité céleste. L’horizon, en revanche, semblait beaucoup plus proche, et comme noyé de cendre. Sur le lac flottait une vapeur dense, qui compensait un peu l’extraordinaire sécheresse de l’air.

Tradabordo a dit…

Je voulus monter sur la terrasse, sans parvenir à franchir la porte d'accès. Néanmoins, j’étais assez bien placé pour observer. Je regardais et j’écoutais. La solitude était absolue. Le crépitement n'était interrompu que par de rares hurlements de chiens ou explosions anormales. L’atmosphère était rouge ; à travers, des troncs, des cheminées et des maisons blanchissaient avec une lividité sordide. Les quelques arbres qui avaient gardé leur feuillage se tordaient, noirs, d’une noirceur d’étain. La lumière avait légèrement faibli, malgré la persistance de la limpidité céleste. L’horizon, en revanche, semblait beaucoup plus proche, et comme noyé de cendre. Sur le lac flottait une vapeur dense, qui compensait un peu l’extraordinaire sécheresse de l’air.

OK.