jeudi 11 juin 2015

Projet Émilie 8 – phrases 184-187

Pero la ciudad ya no existía. Techos, puertas, gran cantidad de muros, todas las torres yacían en ruinas. El silencio era colosal, un verdadero silencio de catástrofe. Cinco o seis grandes humaredas empinaban aún sus penachos; y bajo el cielo que no se había enturbiado ni un momento, un cielo cuya crudeza azul certificaba indiferencias eternas, la pobre ciudad, mi pobre ciudad, muerta, muerta para siempre, hedía como un verdadero cadáver.

Traduction temporaire :
Mais la ville n’existait plus. Des toits, des portes, un grand nombre de murs, toutes les tours gisaient, en ruines. Le silence était colossal, un vrai silence de catastrophe. Cinq ou six gros nuages de fumée dressaient encore leur panache ; sous le ciel qui ne s’était pas troublé un seul instant, et dont le bleu cru témoignait d'indifférences éternelles, la pauvre ville, ma pauvre ville, morte, morte pour toujours, empestait comme un véritable cadavre.

4 commentaires:

Emilie a dit…

Mais la ville n’existait plus. Des toits, des portes, un grand nombre de murs, toutes les tours gisaient en ruines. Le silence était colossal, un vrai silence de catastrophe. Cinq ou six gros nuages de fumée dressaient encore leurs aigrettes ; sous le ciel qui ne s’était pas troublé un seul instant, un ciel dont le bleu cru témoignait de l’éternelle indifférence, la pauvre ville, ma pauvre ville, morte, morte pour toujours, empestait comme un véritable cadavre.

Tradabordo a dit…

Mais la ville n’existait plus. Des toits, des portes, un grand nombre de murs, toutes les tours gisaient [virgule ?] en ruines. Le silence était colossal, un vrai silence de catastrophe. Cinq ou six gros nuages de fumée dressaient encore leurs aigrettes [« panache » ?] ; sous le ciel qui ne s’était pas troublé un seul instant, un ciel [répétition volontaire et donc à laisser ou une solution pour contourner ?] dont le bleu cru témoignait de l’éternelle indifférence [je me demande si tu ne changes pas légèrement le sens], la pauvre ville, ma pauvre ville, morte, morte pour toujours, empestait comme un véritable cadavre.

Emilie a dit…

Mais la ville n’existait plus. Des toits, des portes, un grand nombre de murs, toutes les tours gisaient, en ruines. Le silence était colossal, un vrai silence de catastrophe. Cinq ou six gros nuages de fumée dressaient encore leur panache ; sous le ciel qui ne s’était pas troublé un seul instant, et dont le bleu cru témoignait d'indifférences éternelles, la pauvre ville, ma pauvre ville, morte, morte pour toujours, empestait comme un véritable cadavre.

Tradabordo a dit…

Mais la ville n’existait plus. Des toits, des portes, un grand nombre de murs, toutes les tours gisaient, en ruines. Le silence était colossal, un vrai silence de catastrophe. Cinq ou six gros nuages de fumée dressaient encore leur panache ; sous le ciel qui ne s’était pas troublé un seul instant, et dont le bleu cru témoignait d'indifférences éternelles, la pauvre ville, ma pauvre ville, morte, morte pour toujours, empestait comme un véritable cadavre.

OK.