jeudi 4 juin 2015

Projet Sabrina 3 – phrases 88-90

Impertérrita, asistí a su relato rememorando con ellos la estancia poblada de paisajes, personas y hechos surgidos de la fantasía del pequeño, tan reales que podían palparse con los cinco sentidos. Ante el desconcierto de los presentes, escuché la petición de una prueba que diera crédito a la narración. Y de este modo, volví a ver al niño, quien abrió la pesada puerta de la caja fuerte dispuesto a jugar nuevamente, pletórico de contento y tan entregado a mí que me resultaba imposible desobedecerle.

Traduction temporaire :
Imperturbable, j'écoutai son récit, me remémorant avec eux l'endroit peuplé de paysages, de personnes et d'événements tout droit sortis de l'imagination du petit ; ils étaient si réels qu'on pouvait les sentir avec ses cinq sens. Face à l'incrédulité de l'assistance, j'entendis l'un d'eux demander une preuve qui attesterait ses dires. C'est ainsi que je vis à nouveau l'enfant ouvrir la lourde porte du coffre-fort, prêt à rejouer la scène, exultant de joie ; il m'était si dévoué que je ne pouvais lui désobéir.

8 commentaires:

Sabrina a dit…

Imperturbable, j'assistai à son récit, me remémorant avec eux la pièce peuplée de paysages, de personnes et d'actions tout droit sortis de la fantaisie du petit ; ils étaient si réels qu'on pouvait les appréhender avec les cinq sens. Face au désarroi de l'assistance, j'entendis la demande d'une preuve qui accréditerait sa narration. C'est ainsi que je vis à nouveau l'enfant ouvrir la lourde porte du coffre-fort, prêt à rejouer, débordant de joie et si dévoué à moi que je me retrouvais dans l'impossibilité de lui désobéir.

Tradabordo a dit…

Imperturbable, j'assistai [« j'écoutai » ? Bizarre « assister » à un récit, non ?] à son récit, me remémorant avec eux la pièce [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux] peuplée de paysages, de personnes et d'actions [j'hésite…] tout droit sortis de la fantaisie [FS ?] du petit ; ils étaient si réels qu'on pouvait les appréhender [nécessaire de changer ?] avec les cinq sens. Face au désarroi [inexact ?] de l'assistance, j'entendis la demande d'une preuve qui accréditerait sa narration. C'est ainsi que je vis à nouveau l'enfant ouvrir la lourde porte du coffre-fort, prêt à rejouer, débordant de joie et si dévoué à moi que je me retrouvais dans l'impossibilité de lui désobéir [la fin est assez charabiesque ;-)].

Sabrina a dit…

Oui, tu as raison :). Ok pour "écoutai".
J'ai compris "estancia" dans le sens de pièce, il me semblait que ça collait bien à l'histoire. Peut-être peut-on alors préciser de quelle pièce il s'agit ou au contraire être plus vague. J'opte pour cette dernière solution ;).
Sinon, je ne pense pas que ce soit "séjour".
J'avais changé pour éviter la répétition "sentir avec les 5 sens".
Ah oui, tu trouves ça charabiesque :p ?!

Imperturbable, j'écoutai son récit, me remémorant avec eux l'endroit peuplé de paysages, de personnes et d'événements tout droit sortis de l'imagination du petit ; ils étaient si réels qu'on pouvait les sentir avec les cinq sens. Face à l'incrédulité de l'assistance, j'entendis la demande d'une preuve qui accréditerait sa narration. C'est ainsi que je vis à nouveau l'enfant ouvrir la lourde porte du coffre-fort, prêt à rejouer, débordant de joie ; il m'était si dévoué que je ne pouvais lui désobéir.

Tradabordo a dit…

Imperturbable, j'écoutai son récit, me remémorant avec eux l'endroit peuplé de paysages, de personnes et d'événements tout droit sortis de l'imagination du petit ; ils étaient si réels qu'on pouvait les sentir avec les cinq sens. Face à l'incrédulité de l'assistance, j'entendis [cheville : « formuler » ?] la demande d'une preuve qui accréditerait sa narration [bof]. C'est ainsi que je vis à nouveau l'enfant ouvrir la lourde porte du coffre-fort, prêt à rejouer [chevilles nécessaires : « la scène » ou quelque chose comme ça], débordant [« exultant » ?] de joie ; il m'était si dévoué que je ne pouvais lui désobéir.

Sabrina a dit…

C'est très bien "la scène" et "exultant", merci :).
Je te propose une autre formulation pour la phrase précédente.

Imperturbable, j'écoutai son récit, me remémorant avec eux l'endroit peuplé de paysages, de personnes et d'événements tout droit sortis de l'imagination du petit ; ils étaient si réels qu'on pouvait les sentir avec les cinq sens. Face à l'incrédulité de l'assistance, j'entendis l'un d'eux demander une preuve qui attesterait ses dires. C'est ainsi que je vis à nouveau l'enfant ouvrir la lourde porte du coffre-fort, prêt à rejouer la scène, exultant de joie ; il m'était si dévoué que je ne pouvais lui désobéir.

Tradabordo a dit…

Imperturbable, j'écoutai son récit, me remémorant avec eux l'endroit peuplé de paysages, de personnes et d'événements tout droit sortis de l'imagination du petit ; ils étaient si réels qu'on pouvait les sentir avec les [possessif ? J'hésite] cinq sens. Face à l'incrédulité de l'assistance, j'entendis l'un d'eux demander une preuve qui attesterait [« de » ? Je crois que tu as raison, mais vérifie] ses dires. C'est ainsi que je vis à nouveau l'enfant ouvrir la lourde porte du coffre-fort, prêt à rejouer la scène, exultant de joie ; il m'était si dévoué que je ne pouvais lui désobéir.

Sabrina a dit…

Une fois que tu l'as dit, je n'hésite plus :p!! C'est 1000 fois mieux et bizarrement, la répétition ne me gêne plus avec le possessif. Merci :)

Voici ce que j'ai trouvé pour "attester" :
Certifier, garantir l'exactitude ou la réalité de quelque chose : J'atteste la sincérité de ses déclarations.
Être la preuve, le témoignage de quelque chose, en parlant de quelque chose : Les ruines attestent (de) la violence de l'incendie.
La première situation me semble la plus appropriée ici.

Imperturbable, j'écoutai son récit, me remémorant avec eux l'endroit peuplé de paysages, de personnes et d'événements tout droit sortis de l'imagination du petit ; ils étaient si réels qu'on pouvait les sentir avec ses cinq sens. Face à l'incrédulité de l'assistance, j'entendis l'un d'eux demander une preuve qui attesterait ses dires. C'est ainsi que je vis à nouveau l'enfant ouvrir la lourde porte du coffre-fort, prêt à rejouer la scène, exultant de joie ; il m'était si dévoué que je ne pouvais lui désobéir.

Tradabordo a dit…

Imperturbable, j'écoutai son récit, me remémorant avec eux l'endroit peuplé de paysages, de personnes et d'événements tout droit sortis de l'imagination du petit ; ils étaient si réels qu'on pouvait les sentir avec ses cinq sens. Face à l'incrédulité de l'assistance, j'entendis l'un d'eux demander une preuve qui attesterait ses dires. C'est ainsi que je vis à nouveau l'enfant ouvrir la lourde porte du coffre-fort, prêt à rejouer la scène, exultant de joie ; il m'était si dévoué que je ne pouvais lui désobéir.

OK.