mardi 14 juillet 2015

Projet Émilie 8 – phrases 201-204

Ofrecíle mi bodega, donde quedaban aún dos docenas de jamones, algunos quesos, todo el vino... De repente notamos una polvareda hacia el lado del desierto. La polvareda de una carrera. Alguna partida que enviaban, quizá, en socorro, los compatriotas de Adama o de Seboim.

Traduction temporaire :
Je l’invitai dans ma cave, où il restait deux douzaines de jambons, quelques fromages, tout le vin… Soudain, nous remarquâmes un nuage de poussière du côté du désert. La poussière soulevée par un véhicule. Peut-être une expédition envoyée à notre secours par les compatriotes d’Adama ou de Seboïm.

4 commentaires:

Emilie a dit…

Je l’invitai dans ma cave, où il restait encore deux douzaines de jambons, quelques fromages, tout le vin…
Soudain, nous remarquâmes un nuage de poussière du côté du désert. La poussière soulevée par un véhicule. Une expédition envoyée, peut-être, à notre secours, par les compatriotes d’Adama ou de Seboïm.

Tradabordo a dit…

Je l’invitai dans ma cave, où il restait encore [nécessaire ?] deux douzaines de jambons, quelques fromages, tout le vin…
Soudain, nous remarquâmes un nuage de poussière du côté du désert. La poussière soulevée par un véhicule. Une expédition envoyée, peut-être [mets-le au début ; ça évitera cette fragmentation], à notre secours, par les compatriotes d’Adama ou de Seboïm.

Emilie a dit…

Je l’invitai dans ma cave, où il restait deux douzaines de jambons, quelques fromages, tout le vin…
Soudain, nous remarquâmes un nuage de poussière du côté du désert. La poussière soulevée par un véhicule. Peut-être une expédition envoyée à notre secours par les compatriotes d’Adama ou de Seboïm.

Tradabordo a dit…

Je l’invitai dans ma cave, où il restait deux douzaines de jambons, quelques fromages, tout le vin…
Soudain, nous remarquâmes un nuage de poussière du côté du désert. La poussière soulevée par un véhicule. Peut-être une expédition envoyée à notre secours par les compatriotes d’Adama ou de Seboïm.

OK.