vendredi 14 août 2015

Projet Aurélie O 12 – phrases 11-18

Me acerco a la ventana y mis oídos descifran la interesante conversación. Necesita el tren que la lleve a otra ciudad. El marido de ella, ha muerto debido a un ataque que tuvo en uno de sus viajes de expedición. La señora empapa su pañuelo de mocos y lágrimas. Es gratificante ver el talento que tiene las mujeres para engañar a través del llanto. Es una de las mayores hipocresías, del mal llamado sexo débil. El vendedor saca un talonario y se lo ofrece. La señora extiende el brazo para recibir el boleto.

Traduction temporaire :
Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent leur intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort d’une attaque qu’il a eue lors d’une expédition. Elle trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle satisfaction de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce à leurs pleurs ! C’est l’une des plus grandes hypocrisies du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un ticket de son carnet et le lui offre. La femme avance le bras pour recevoir son ticket.

14 commentaires:

Unknown a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent l’intéressante conversation. Elle a besoin d’un train qui l’emmène dans une autre ville. Son mari est mort à cause d’une attaque qu’il a eue lors d’un de ses voyages d’expédition. La femme trempe son mouchoir de morve et de larmes. C’est gratifiant de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce aux larmes. C’est l’une des plus grandes hypocrisies, du mal nommé : sexe faible. Le vendeur sort un carnet et lui offre. La femme tend le bras pour recevoir le billet.

Tradabordo a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent l’intéressante conversation. Elle a besoin d’un [pas exactement ce que dit la V.O. // il faudra légèrement remanier la suite, du coup…] train qui l’emmène dans une autre ville. Son mari est mort à cause d’une attaque qu’il a eue lors d’un de ses voyages d’expédition. La femme trempe son mouchoir de morve et de larmes. C’est gratifiant de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce aux larmes [ne répète pas / ça ne l'est pas en V.O.]. C’est [tu as commencé la phrase précédente de la même façon ; il faut trouver une autre construction] l’une des plus grandes hypocrisies, du mal nommé : [pas besoin des deux points] sexe faible. Le vendeur sort un carnet et lui offre. La femme tend le bras pour recevoir le billet [?].

Unknown a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent l’intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort à cause d’une attaque qu’il a eue lors d’un de ses voyages d’expédition. La femme trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle valorisation de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce aux pleurs. C’est l’une des plus grandes hypocrisies, du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un carnet et lui offre. La femme tend le bras pour recevoir le ticket.

Tradabordo a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent l’intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort à cause [nécessaire ?] d’une attaque qu’il a eue lors d’un de ses [nécessaire ? Comme tu veux…] voyages [nécessaire ?] d’expédition. La femme trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle valorisation [très mal dit ; plus littéral] de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce aux pleurs [avec un possessif ? Essaie et vois ce qui est mieux…]. C’est l’une des plus grandes hypocrisies, [sans la virgule…] du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un carnet et [« le »] lui offre. La femme tend le bras pour recevoir le ticket [un carnet ou un ticket ? Je ne suis plus trop dans le texte, alors je ne comprends pas…].

Unknown a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent l’intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort d’une attaque qu’il a eue lors d’une expédition. La femme trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle gratification de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce à leurs pleurs. C’est l’une des plus grandes hypocrisies du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un carnet et le lui offre. La femme tend le bras pour recevoir le ticket. [un carnet ou un ticket ? Je ne suis plus trop dans le texte, alors je ne comprends pas… // Il lui tend son carnet (« talonario »), elle en prend un ticket (« boleto »), pour le train qui pourra l’emmener dans une autre ville, non ?]

Tradabordo a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent l’[possessif ? Je ne sais plus du tout ce qui précède ; donc je te laisse vérifier… c'est comme que comme ça, de loi, ça paraît curieux… Si pas de possessif, est-ce qu'on ne mettrait pas deux points après ? Regarde tout ça]intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort d’une attaque qu’il a eue lors d’une expédition. La femme trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle gratification [je me demande si tu ne devrais pas quand même faire un tour du côté du dico unilingue et après dans Le Robert… pour être certaine qu'on ne fait pas une erreur. Je ne dis pas que c'est faux…………] de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce à leurs pleurs. C’est l’une des plus grandes hypocrisies du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un carnet et le lui offre. La femme tend le bras pour recevoir le ticket.

Unknown a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent leur intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort d’une attaque qu’il a eue lors d’une expédition. La femme trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle satisfaction de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce à leurs pleurs. C’est l’une des plus grandes hypocrisies du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un carnet et le lui offre. La femme tend le bras pour recevoir le ticket.

Tradabordo a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent leur intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort d’une attaque qu’il a eue lors d’une expédition. La femme [« elle » ? On a « femmes » après] trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle satisfaction de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce à leurs pleurs. C’est l’une des plus grandes hypocrisies du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un carnet et le lui offre [« rend »]. La femme tend [« avance » ?] le bras pour recevoir le ticket.

Unknown a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent leur intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort d’une attaque qu’il a eue lors d’une expédition. Elle trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle satisfaction de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce à leurs pleurs. C’est l’une des plus grandes hypocrisies du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un carnet et le lui offre [« rend » // C’est le carnet du vendeur, je dirais plutôt « offre », non ?]. La femme avance le bras pour recevoir le ticket.

Tradabordo a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent leur intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort d’une attaque qu’il a eue lors d’une expédition. Elle trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle satisfaction de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce à leurs pleurs. C’est l’une des plus grandes hypocrisies du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un carnet et le lui offre [« rend » // C’est le carnet du vendeur, je dirais plutôt « offre », non ? Oui, mais c'est vraiment bizarre… Il offre un carnet, elle reçoit un ticket ??????]. La femme avance le bras pour recevoir le ticket.

Unknown a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent leur intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort d’une attaque qu’il a eue lors d’une expédition. Elle trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle satisfaction de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce à leurs pleurs. C’est l’une des plus grandes hypocrisies du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un ticket de son carnet et le lui offre. La femme avance le bras pour recevoir le ticket.

Tradabordo a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent leur intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort d’une attaque qu’il a eue lors d’une expédition. Elle trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle satisfaction de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce à leurs pleurs ! C’est l’une des plus grandes hypocrisies du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un ticket de son carnet et le lui offre. La femme avance le bras pour recevoir le [possessif ? Comme ça, je crois qu'on éviter le truc bizarre…] ticket.

Unknown a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent leur intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort d’une attaque qu’il a eue lors d’une expédition. Elle trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle satisfaction de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce à leurs pleurs ! C’est l’une des plus grandes hypocrisies du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un ticket de son carnet et le lui offre. La femme avance le bras pour recevoir son ticket.

Tradabordo a dit…

Je m’approche de la fenêtre et mes oreilles déchiffrent leur intéressante conversation. Elle a besoin du train qui pourra l’emmener dans une autre ville. Son mari est mort d’une attaque qu’il a eue lors d’une expédition. Elle trempe son mouchoir de morve et de larmes. Quelle satisfaction de voir le talent qu’ont les femmes pour tromper les gens grâce à leurs pleurs ! C’est l’une des plus grandes hypocrisies du mal nommé sexe faible. Le vendeur sort un ticket de son carnet et le lui offre. La femme avance le bras pour recevoir son ticket.

OK.