mercredi 5 août 2015

Projet Aurélie O 12 – phrases 5-10

Me gusta al salir de la escuela, dar vueltas por la estación. En parte para estar solo; otras para escuchar el ruido de los trenes en movimiento, que contrastan con la calma del pueblo, recordándome en cierta forma mí tedio, mi pereza. De todas las pasiones humanas, la pereza es una de las más ardientes y malignas, porque se hace dueña de nuestros sentimientos e intereses. Sin embargo es fácil apegarse a ella. Nunca me tomo la molestia de extenderme y conducir mi mente todo lo lejos que pudiera llegar. En cambio al contemplar a la señora de las botas, siento que algo me está inquietando.

Traduction temporaire :
Quand je sors de l’école, j’aime aller me balader à la gare. D’une part pour être seul ; d’autre part pour écouter le bruit des trains en mouvement, qui contrastent avec le calme du village, me rappelant d’une certaine manière mon ennui, ma paresse. De toutes les passions humaines, elle est l’une des plus brûlantes et malignes car elle prend possession de nos sentiments et intérêts. Cependant, il est facile de s’attacher à elle. Je ne prends jamais la peine de m’étendre et de pousser mon esprit jusqu’à ses limites. À l'inverse, en contemplant la femme aux bottes, je sens que quelque chose m’inquiète.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Quand je sors de l’école, j’aime aller me balader à la gare. D’une part pour être seul ; d’autre part pour écouter le bruit des trains en mouvements, qui contrastent avec le calme du village, me rappelant, d’une certaine manière, mon ennui, ma paresse. De toutes les passions humaines, la paresse est l’une des plus ardentes et malveillantes, car elle est maîtresse de nos sentiments et intérêts. Cependant, il est facile de s’attacher à elle. Je ne prends jamais la peine de m’étendre et de pousser mon esprit jusqu’à ses limites[Trop loin de la VO ?]. Par contre, en contemplant la femme aux bottes, je sens que quelque chose m’inquiète.

Tradabordo a dit…

Quand je sors de l’école, j’aime aller me balader à la gare. D’une part pour être seul ; d’autre part pour écouter le bruit des trains en mouvements [grammaire ?], qui contrastent avec le calme du village, me rappelant, d’une certaine manière, [supprime l'entre-virgules] mon ennui, ma paresse. De toutes les passions humaines, la paresse [besoin de répéter ? Est-ce qu'avec « elle », ça ne suffit pas ?] est l’une des plus ardentes [« brûlantes » ? Vérifie] et malveillantes [vérifie, quand même ; je ne dis pas que c'est faux…, mais vois ce que dit le DRAE], car elle est maîtresse [pas exactement ce que dit la V.O.] de nos sentiments et intérêts. Cependant, il est facile de s’attacher à elle. Je ne prends jamais la peine de m’étendre et de pousser mon esprit jusqu’à ses limites[Trop loin de la VO ? OK]. Par contre [« Alors qu' »], en contemplant la femme aux bottes, je sens que quelque chose m’inquiète.

Unknown a dit…

Quand je sors de l’école, j’aime aller me balader à la gare. D’une part pour être seul ; d’autre part pour écouter le bruit des trains en mouvement, qui contrastent avec le calme du village, me rappelant d’une certaine manière mon ennui, ma paresse. De toutes les passions humaines, elle est l’une des plus brûlantes et malignes car elle se fait maître de nos sentiments et intérêts. Cependant, il est facile de s’attacher à elle. Je ne prends jamais la peine de m’étendre et de pousser mon esprit jusqu’à ses limites. Alors qu'en contemplant la femme aux bottes, je sens que quelque chose m’inquiète.

Tradabordo a dit…

Quand je sors de l’école, j’aime aller me balader à la gare. D’une part pour être seul ; d’autre part pour écouter le bruit des trains en mouvement, qui contrastent avec le calme du village, me rappelant d’une certaine manière mon ennui, ma paresse. De toutes les passions humaines, elle est l’une des plus brûlantes et malignes car elle se fait maître [« s'empare » / « prend possession ?»] de nos sentiments et intérêts. Cependant, il est facile de s’attacher à elle. Je ne prends jamais la peine de m’étendre et de pousser mon esprit jusqu’à ses limites. Alors qu'en contemplant la femme aux bottes, je sens que quelque chose m’inquiète.

Unknown a dit…

Quand je sors de l’école, j’aime aller me balader à la gare. D’une part pour être seul ; d’autre part pour écouter le bruit des trains en mouvement, qui contrastent avec le calme du village, me rappelant d’une certaine manière mon ennui, ma paresse. De toutes les passions humaines, elle est l’une des plus brûlantes et malignes car elle prend possession de nos sentiments et intérêts. Cependant, il est facile de s’attacher à elle. Je ne prends jamais la peine de m’étendre et de pousser mon esprit jusqu’à ses limites. Alors qu'en contemplant la femme aux bottes, je sens que quelque chose m’inquiète.

Tradabordo a dit…

Quand je sors de l’école, j’aime aller me balader à la gare. D’une part pour être seul ; d’autre part pour écouter le bruit des trains en mouvement, qui contrastent avec le calme du village, me rappelant d’une certaine manière mon ennui, ma paresse. De toutes les passions humaines, elle est l’une des plus brûlantes et malignes car elle prend possession de nos sentiments et intérêts. Cependant, il est facile de s’attacher à elle. Je ne prends jamais la peine de m’étendre et de pousser mon esprit jusqu’à ses limites. Alors qu'[« À l'inverse » ? N'est-ce pas plus clair ?] en contemplant la femme aux bottes, je sens que quelque chose m’inquiète.

Unknown a dit…

Quand je sors de l’école, j’aime aller me balader à la gare. D’une part pour être seul ; d’autre part pour écouter le bruit des trains en mouvement, qui contrastent avec le calme du village, me rappelant d’une certaine manière mon ennui, ma paresse. De toutes les passions humaines, elle est l’une des plus brûlantes et malignes car elle prend possession de nos sentiments et intérêts. Cependant, il est facile de s’attacher à elle. Je ne prends jamais la peine de m’étendre et de pousser mon esprit jusqu’à ses limites. À l'inverse, en contemplant la femme aux bottes, je sens que quelque chose m’inquiète.

Tradabordo a dit…

Quand je sors de l’école, j’aime aller me balader à la gare. D’une part pour être seul ; d’autre part pour écouter le bruit des trains en mouvement, qui contrastent avec le calme du village, me rappelant d’une certaine manière mon ennui, ma paresse. De toutes les passions humaines, elle est l’une des plus brûlantes et malignes car elle prend possession de nos sentiments et intérêts. Cependant, il est facile de s’attacher à elle. Je ne prends jamais la peine de m’étendre et de pousser mon esprit jusqu’à ses limites. À l'inverse, en contemplant la femme aux bottes, je sens que quelque chose m’inquiète.

OK.