jeudi 6 août 2015

Projet Émeline 4 – phrases 9-14

Cierro los ojos y el viento es primero silencio, luego vaivén de sonidos inconstantes, conversaciones de viejas y de una pareja a destiempo que se deja caer sobre la hierba rala y tarda varios minutos y descripciones del cabello larguísimo, ondeado al viento de ella antes de prolongar lascivamente los besos, preludio del amor.
Piadosa, Poesía
Nadie nos mira. Llevo más de una tarde sentado lejos de mi banca
Intento desolar mi rostro contra el piso desigual grietas de viejos
Terremotos que me conducirán finalmente a otro lugar.

Traduction temporaire :

Je ferme les yeux et le vent est d'abord silence, puis va-et-vient de sons inconstants, de conversations de vieilles femmes et d'un couple décalé qui se laisse tomber sur l'herbe clairsemée et s'attarde quelques minutes, et des descriptions de ses très longs cheveux, ondulant au vent, avant de prolonger lascivement les baisers, prélude de l'amour.
Pieuse, Poésie
Personne ne nous regarde. Cela fait plus d'une près-midi que je suis assis loin de mon banc
J'essaie d'abîmer mon visage contre le sol accidenté fissures de vieux
Tremblements de terre qui me conduiront finalement ailleurs.

4 commentaires:

Mme B. a dit…

Je ferme les yeux et le vent est d'abord silence, puis va-et-vient de sons inconstants, de conversations de vieilles dames et d'un couple décalé qui se laisse tomber sur l'herbe clairsemée et traîne quelques minutes, et des descriptions de ses très longs cheveux, ondulés au vent, avant de prolonger lascivement les baisers, prélude de l'amour.
Pieuse, Poésie
Personne ne nous voit. Cela fait plus d'une près-midi que je suis assis loin de mon banc
J'essaye d'abîmer mon visage contre le sol accidenté fissures de vieux
Tremblements de terre qui me conduiront finalement ailleurs.

Tradabordo a dit…

Je ferme les yeux et le vent est d'abord silence, puis va-et-vient de sons inconstants, de conversations de vieilles dames [« femmes » ; sinon, tu changes le ton / style] et d'un couple décalé qui se laisse tomber sur l'herbe clairsemée et traîne [registre ? J'hésite…] quelques minutes, et des descriptions de ses très longs cheveux, ondulés [CS ou mal dit] au vent, avant de prolonger lascivement les baisers, prélude de l'amour.
Pieuse, Poésie
Personne ne nous voit [FS ?]. Cela fait plus d'une près-midi que je suis assis loin de mon banc
J'essaye [« j'essaie »] d'abîmer mon visage contre le sol accidenté fissures de vieux
Tremblements de terre qui me conduiront finalement ailleurs.

Mme B. a dit…

Je ferme les yeux et le vent est d'abord silence, puis va-et-vient de sons inconstants, de conversations de vieilles femmes et d'un couple décalé qui se laisse tomber sur l'herbe clairsemée et s'attarde quelques minutes, et des descriptions de ses très longs cheveux, ondulant au vent, avant de prolonger lascivement les baisers, prélude de l'amour.
Pieuse, Poésie
Personne ne nous regarde. Cela fait plus d'une près-midi que je suis assis loin de mon banc
J'essaie d'abîmer mon visage contre le sol accidenté fissures de vieux
Tremblements de terre qui me conduiront finalement ailleurs.

Tradabordo a dit…

Je ferme les yeux et le vent est d'abord silence, puis va-et-vient de sons inconstants, de conversations de vieilles femmes et d'un couple décalé qui se laisse tomber sur l'herbe clairsemée et s'attarde quelques minutes, et des descriptions de ses très longs cheveux, ondulant au vent, avant de prolonger lascivement les baisers, prélude de l'amour.
Pieuse, Poésie
Personne ne nous regarde. Cela fait plus d'une près-midi que je suis assis loin de mon banc
J'essaie d'abîmer mon visage contre le sol accidenté fissures de vieux
Tremblements de terre qui me conduiront finalement ailleurs.

OK.