mercredi 19 août 2015

Projet Émilie 8 – phrase 211

Rondaban los surtidores secos con un desvarío humano en sus ojos, y bruscamente reemprendían su carrera en busca de otro depósito, agotado también, hasta que sentándose por último en torno del postrero, con el calcinado hocico en alto, la mirada vagorosa de desolación y de eternidad, quejándose al cielo, estoy seguro, pusiéronse a rugir.

Traduction temporaire :
Ils rôdaient près des sources taries, une expression de délire humain dans les yeux, puis reprenaient brusquement leur course en quête d’un autre point d’eau, lui aussi asséché. S’asseyant finalement autour du dernier, le museau roussi orienté vers le haut, le regard perdu de désolation et d’éternité, et se plaignant au ciel – j’en suis certain –, ils se mirent à rugir.

8 commentaires:

Emilie a dit…

Ils rôdaient près des sources taries, une expression de délire humain dans les yeux, puis reprenaient brusquement leur course en quête d’un autre point d’eau, asséché lui aussi. S’asseyant finalement autour du dernier, le museau calciné orienté vers le haut, le regard perdu de désolation et d’éternité, et se plaignant au ciel – j’en suis certain –, ils se mirent à rugir.

Tradabordo a dit…

Ils rôdaient près des sources taries, une expression de délire [j'hésite ; on le dirait ? Je ne dis pas non, mais j'ai un petit doute…] humain dans les yeux, puis reprenaient brusquement leur course en quête d’un autre point d’eau, asséché lui aussi [ou l'inverse ? Regarde et vois ce qui est mieux…]. S’asseyant finalement autour du dernier, le museau calciné [pas trop fort ?] orienté vers le haut, le regard perdu de désolation et d’éternité, et se plaignant au ciel – j’en suis certain –, ils se mirent à rugir.

Emilie a dit…

Ils rôdaient près des sources taries, les yeux délirants, quasi humains [je change trop, là, non ?], puis reprenaient brusquement leur course en quête d’un autre point d’eau, lui aussi asséché. S’asseyant finalement autour du dernier, le museau roussi [pas assez fort ? Ou alors un simple "brûlé"?] orienté vers le haut, le regard perdu de désolation et d’éternité, et se plaignant au ciel – j’en suis certain –, ils se mirent à rugir.

Tradabordo a dit…

Ils rôdaient près des sources taries, les yeux délirants, quasi humains [je change trop, là, non ? Bonne idée, mais oui, essaie quand même de revenir plus près de la V.O.], puis reprenaient brusquement leur course en quête d’un autre point d’eau, lui aussi asséché. S’asseyant finalement autour du dernier, le museau roussi [pas assez fort ? Ou alors un simple "brûlé"? OK pour « roussi » ; c'est bien] orienté vers le haut, le regard perdu de désolation et d’éternité, et se plaignant au ciel – j’en suis certain –, ils se mirent à rugir.

Emilie a dit…

Ils rôdaient près des sources taries, une expression humaine de délire dans les yeux, [pas évident... et comme ça ?], puis reprenaient brusquement leur course en quête d’un autre point d’eau, lui aussi asséché. S’asseyant finalement autour du dernier, le museau roussi orienté vers le haut, le regard perdu de désolation et d’éternité, et se plaignant au ciel – j’en suis certain –, ils se mirent à rugir.

Tradabordo a dit…

Ils rôdaient près des sources taries, une expression humaine de délire [dans ce cas, mieux vaut encore ta proposition du début] dans les yeux, puis reprenaient brusquement leur course en quête d’un autre point d’eau, lui aussi asséché. S’asseyant finalement autour du dernier, le museau roussi orienté vers le haut, le regard perdu de désolation et d’éternité, et se plaignant au ciel – j’en suis certain –, ils se mirent à rugir.

Emilie a dit…

Ils rôdaient près des sources taries, une expression de délire humain dans les yeux, puis reprenaient brusquement leur course en quête d’un autre point d’eau, lui aussi asséché. S’asseyant finalement autour du dernier, le museau roussi orienté vers le haut, le regard perdu de désolation et d’éternité, et se plaignant au ciel – j’en suis certain –, ils se mirent à rugir.

Tradabordo a dit…

Ils rôdaient près des sources taries, une expression de délire humain dans les yeux, puis reprenaient brusquement leur course en quête d’un autre point d’eau, lui aussi asséché. S’asseyant finalement autour du dernier, le museau roussi orienté vers le haut, le regard perdu de désolation et d’éternité, et se plaignant au ciel – j’en suis certain –, ils se mirent à rugir.

OK.