mercredi 5 août 2015

Projet Émilie 8 – phrases 205-209

Pronto hubimos de sustituir esta esperanza por un espectáculo tan desolador como peligroso. Era un tropel de leones, las fieras sobrevivientes del desierto, que acudían a la ciudad como a un oasis, furiosos de sed, enloquecidos de cataclismo. La sed y no el hambre los enfurecía, pues pasaron junto a nosotros sin advertirnos. ¡Y en qué estado venían! Nada como ellos revelaba tan lúgubremente la catástrofe.

Traduction temporaire :
Bien vite, nous dûmes remplacer cet espoir par un spectacle aussi affligeant que dangereux : une horde de lions – les fauves du désert qui avaient survécu – se dirigeait vers la ville comme vers une oasis, rendus furieux par la soif et fous par le cataclysme. Ils passèrent près de nous sans percevoir notre présence ; c’était donc la soif, et non la faim, qui les enrageait. Ils étaient dans un état ! Rien ne révélait la catastrophe de façon aussi lugubre qu’eux.

8 commentaires:

Emilie a dit…

Bien vite, nous dûmes remplacer cet espoir par la vision d’un spectacle aussi affligeant que dangereux.
Une horde de lions – les fauves survivants du désert – se dirigeait vers la ville comme vers une oasis, rendus furieux par la soif et fous par le cataclysme.
C’était la soif, et non la faim, qui les enrageait, puisqu’ils passèrent près de nous sans percevoir notre présence. Et dans quel état ! Rien ne révélait la catastrophe de façon aussi lugubre qu’eux.

Tradabordo a dit…

Bien vite, nous dûmes remplacer cet espoir par la vision d’un spectacle aussi affligeant que dangereux. [deux points ?]
Une horde de lions – les fauves survivants [clair ? Juste un doute…] du désert – se dirigeait vers la ville comme vers une oasis, rendus furieux par la soif et fous par le cataclysme.
C’était la soif, et non la faim, qui les enrageait, puisqu’ils passèrent près de nous sans percevoir notre présence [ou en inversant complètement la phrase et en commençant par quelque chose comme « Vu que » ? Essaie et dis-moi…]. Et dans quel état ! Rien ne révélait la catastrophe de façon aussi lugubre qu’eux.

Emilie a dit…

Bien vite, nous dûmes remplacer cet espoir par la vision d’un spectacle aussi affligeant que dangereux : une horde de lions – les fauves du désert qui avaient survécu – se dirigeait vers la ville comme vers une oasis, rendus furieux par la soif et fous par le cataclysme.
Vu qu’ils passèrent près de nous sans percevoir notre présence, c’était la soif, et non la faim, qui les enrageait. Et dans quel état ! [Bof comme ça, non ? Autre possibilité : Ils passèrent près de nous sans percevoir notre présence ; c’était donc la soif, et non la faim, qui les enrageait. Ils étaient dans un état !] Rien ne révélait la catastrophe de façon aussi lugubre qu’eux.

Tradabordo a dit…

Bien vite, nous dûmes remplacer cet espoir par la vision d’un spectacle aussi affligeant que dangereux : une horde de lions – les fauves du désert qui avaient survécu – se dirigeait vers la ville comme vers une oasis, rendus furieux par la soif et fous par le cataclysme.
Vu qu’ils passèrent près de nous sans percevoir notre présence, c’était la soif, et non la faim, qui les enrageait. Et dans quel état ! [Bof comme ça, non ? Autre possibilité : Ils passèrent près de nous sans percevoir notre présence ; c’était donc la soif, et non la faim, qui les enrageait. Ils étaient dans un état ! OK] Rien ne révélait la catastrophe de façon aussi lugubre qu’eux.

Emilie a dit…

Bien vite, nous dûmes remplacer cet espoir par la vision d’un spectacle aussi affligeant que dangereux : une horde de lions – les fauves du désert qui avaient survécu – se dirigeait vers la ville comme vers une oasis, rendus furieux par la soif et fous par le cataclysme.
Ils passèrent près de nous sans percevoir notre présence ; c’était donc la soif, et non la faim, qui les enrageait. Ils étaient dans un état ! Rien ne révélait la catastrophe de façon aussi lugubre qu’eux.

Tradabordo a dit…

Bien vite, nous dûmes remplacer cet espoir par la vision d’ [au fait, juste un doute : cela est-il nécessaire ? Comme tu veux…] un spectacle aussi affligeant que dangereux : une horde de lions – les fauves du désert qui avaient survécu – se dirigeait vers la ville comme vers une oasis, rendus furieux par la soif et fous par le cataclysme.
Ils passèrent près de nous sans percevoir notre présence ; c’était donc la soif, et non la faim, qui les enrageait. Ils étaient dans un état ! Rien ne révélait la catastrophe de façon aussi lugubre qu’eux.

Emilie a dit…

Bien vite, nous dûmes remplacer cet espoir par un spectacle aussi affligeant que dangereux : une horde de lions – les fauves du désert qui avaient survécu – se dirigeait vers la ville comme vers une oasis, rendus furieux par la soif et fous par le cataclysme.
Ils passèrent près de nous sans percevoir notre présence ; c’était donc la soif, et non la faim, qui les enrageait. Ils étaient dans un état ! Rien ne révélait la catastrophe de façon aussi lugubre qu’eux.

Tradabordo a dit…

Bien vite, nous dûmes remplacer cet espoir par un spectacle aussi affligeant que dangereux : une horde de lions – les fauves du désert qui avaient survécu – se dirigeait vers la ville comme vers une oasis, rendus furieux par la soif et fous par le cataclysme.
Ils passèrent près de nous sans percevoir notre présence ; c’était donc la soif, et non la faim, qui les enrageait. Ils étaient dans un état ! Rien ne révélait la catastrophe de façon aussi lugubre qu’eux.

OK.