samedi 15 août 2015

Projet Hélène 5 – phrases 45-47

No debía soñar en todo caso y, menos, cojudeces. De hecho, a diferencia de los peruanos que había encontrado en todo ese tiempo, una de las primeras cosas que él se había impuesto al llegar a Estados Unidos era que no había que soñar con castillitos de Disneylandia y con princesitas pecosas adictas al helado. Había que tener los ojos abiertos, pues, muy abiertos, para que la presa no se escapara, de presentarse la presa, claro. Así eran las cosas.

Traduction temporaire :
Quoi qu'il en soit, il ne devait pas rêver, encore moins à des idioties. En effet, contrairement aux Péruviens qu’il avait rencontrés pendant tout ce temps, la première règle qu’il s’était imposé en arrivant aux États-Unis était de ne pas rêver aux châteaux de Disneyland, ni aux princesses avec des tâches de rousseur, accros à la glace. Il fallait garder l’œil ouvert, bien ouvert, pour que la proie ne s’échappe pas, si elle se présentait bien sûr. C’était comme ça.

4 commentaires:

Hélène a dit…

En aucun cas, il ne devait pas rêver, encore moins à des idioties. En effet, contrairement aux Péruviens qu’il avait rencontrés pendant tout ce temps, la première règle qu’il s’était imposé en arrivant aux États-Unis était de ne pas rêver aux châteaux de Disneyland et aux princesses avec des tâches de rousseur, accros à la glace. Il fallait garder l’œil ouvert, bien ouvert, pour que la proie ne s’échappe pas, si elle présentait bien sûr. C’était comme ça.

Tradabordo a dit…

En aucun cas [sûre de l'interprétation ?], il ne devait pas rêver, encore moins à des idioties. En effet, contrairement aux Péruviens qu’il avait rencontrés pendant tout ce temps, la première règle qu’il s’était imposé en arrivant aux États-Unis était de ne pas rêver aux châteaux de Disneyland et aux princesses avec des tâches de rousseur, accros à la glace. Il fallait garder l’œil ouvert, bien ouvert, pour que la proie ne s’échappe pas, si elle [« se »] présentait bien sûr. C’était comme ça.

Hélène a dit…

Quoi qu'il en soit, il ne devait pas rêver, encore moins à des idioties. En effet, contrairement aux Péruviens qu’il avait rencontrés pendant tout ce temps, la première règle qu’il s’était imposé en arrivant aux États-Unis était de ne pas rêver aux châteaux de Disneyland, ni aux princesses avec des tâches de rousseur, accros à la glace. Il fallait garder l’œil ouvert, bien ouvert, pour que la proie ne s’échappe pas, si elle se présentait bien sûr. C’était comme ça.

Tradabordo a dit…

Quoi qu'il en soit, il ne devait pas rêver, encore moins à des idioties. En effet, contrairement aux Péruviens qu’il avait rencontrés pendant tout ce temps, la première règle qu’il s’était imposé en arrivant aux États-Unis était de ne pas rêver aux châteaux de Disneyland, ni aux princesses avec des tâches de rousseur, accros à la glace. Il fallait garder l’œil ouvert, bien ouvert, pour que la proie ne s’échappe pas, si elle se présentait bien sûr. C’était comme ça.

OK.