samedi 22 août 2015

Projet Hélène 5 – phrases 48-51

Sí, no había que soñar. Era la consigna, dijeran lo que dijeran los que se creían el cuento, los que no llegaban a ver que eso era sólo para algunos, para muy pocos. El verdadero “sueño americano” lo vivían otros, los que se movían en las alturas de ese paraíso, los que roncaban sobre ese país y el mundo, los que tenían la sartén por el mango y repartían la torta o, mejor dicho, los mendrugos de la torta, que la torta se la quedaban entera, o casi. Para los otros, para la gente como su gente, lo único que quedaba era la servidumbre, ese estado objetivo de esclavitud que no querían ver los que se aferraban a la esperanza.

Traduction temporaire :
Non, il ne fallait pas rêver. Telle était la consigne, quoi qu’en disent ceux qui croyaient aux contes de fée, ceux qui n’arrivaient pas à voir qu'il s'agissait de l'apanage de certains, très peu nombreux. Le vrai « rêve américain », c'était d’autres qui le vivaient, ceux qui évoluaient dans les hautes sphères de ce paradis, ceux qui ronflaient sur ce pays et sur le monde, ceux qui tenaient les rênes et répartissaient le gâteau, ou plutôt, les miettes du gâteau, car ils se le gardaient en entier ou presque. Pour les autres, les gens comme lui, il ne restait que la servitude, cet état objectif d’esclavage que ne voulaient pas voir ceux qui s’accrochaient à l’espoir.

4 commentaires:

Hélène a dit…

Non, il ne fallait pas rêver. Telle était la consigne, quoi qu’en disent ceux qui croyaient au conte de fée, ceux qui n’arrivaient pas à voir qu’il s’agissait de l’apanage de certains, très peu nombreux. Le vrai « rêve américain », d’autres le vivaient, ceux qui se mouvaient dans les hautes sphères de ce paradis, ceux qui ronflaient sur ce pays et sur le monde, ceux qui tenaient les rênes et répartissaient le gâteau, ou plutôt, les miettes du gâteau, car ils se le gardaient en entier ou presque. Pour les autres, les gens comme lui, il ne restait que la servitude, cet état objectif d’esclavage que ne voulaient pas voir ceux qui s’accrochaient à l’espoir.

Tradabordo a dit…

Non, il ne fallait pas rêver. Telle était la consigne, quoi qu’en disent ceux qui croyaient au conte [pluriel ? Vérifie] de fée, ceux qui n’arrivaient pas à voir qu’il s’agissait de l’apanage [registre par rapport à la V.O. ? J'hésite…] de certains, très peu nombreux. Le vrai « rêve américain », [est-ce que là, il ne faut pas mettre un « c'était » ? Je te laisse évaluer…] d’autres le vivaient, ceux qui se mouvaient [« évoluaient » ? Comme tu préfères…] dans les hautes sphères de ce paradis, ceux qui ronflaient sur ce pays et sur le monde, ceux qui tenaient les rênes et répartissaient le gâteau, ou plutôt, les miettes du gâteau, car ils se le gardaient en entier ou presque. Pour les autres, les gens comme lui, il ne restait que la servitude, cet état objectif d’esclavage que ne voulaient pas voir ceux qui s’accrochaient à l’espoir.

Hélène a dit…

Non, il ne fallait pas rêver. Telle était la consigne, quoi qu’en disent ceux qui croyaient aux contes de fée, ceux qui n’arrivaient pas à voir qu'il s'agissait de l'apanage de [registre par rapport à la V.O. ? J'hésite… Tout à fait d'accord avec toi pour le registre, mais ça m'évite un incontournable "c'était réservé à" / 'tout cela était réservé à"] certains, très peu nombreux. Le vrai « rêve américain », c'était d’autres qui le vivaient, ceux qui évoluaient dans les hautes sphères de ce paradis, ceux qui ronflaient sur ce pays et sur le monde, ceux qui tenaient les rênes et répartissaient le gâteau, ou plutôt, les miettes du gâteau, car ils se le gardaient en entier ou presque. Pour les autres, les gens comme lui, il ne restait que la servitude, cet état objectif d’esclavage que ne voulaient pas voir ceux qui s’accrochaient à l’espoir.

Tradabordo a dit…

Non, il ne fallait pas rêver. Telle était la consigne, quoi qu’en disent ceux qui croyaient aux contes de fée, ceux qui n’arrivaient pas à voir qu'il s'agissait de l'apanage de certains, très peu nombreux. Le vrai « rêve américain », c'était d’autres qui le vivaient, ceux qui évoluaient dans les hautes sphères de ce paradis, ceux qui ronflaient sur ce pays et sur le monde, ceux qui tenaient les rênes et répartissaient le gâteau, ou plutôt, les miettes du gâteau, car ils se le gardaient en entier ou presque. Pour les autres, les gens comme lui, il ne restait que la servitude, cet état objectif d’esclavage que ne voulaient pas voir ceux qui s’accrochaient à l’espoir.

OK.