vendredi 14 août 2015

Projet Morgane 13 – phrases 52-54

La esperanza es lo último que se pierde, decía mi madre. Y nosotros estábamos siempre el día previsto en la estación, esperando el arribo del tren. Un sábado de tantos, casi sin darme cuenta me integré al grupo de hijos de combatientes que a un kilómetro antes de la estación, en un recodo de la línea férrea cuando el tren aminoraba la marcha, abordábamos los vagones.

Traduction temporaire :
L'espoir est la dernière chose que l'on perd, affirmait ma mère. Et nous étions toujours à la gare le jour prévu, à attendre l'arrivée du train. Un samedi parmi tant d'autres, presque sans m'en rendre compte, je m'étais fondu dans le groupe de fils de combattants. À un kilomètre de la gare, dans un virage de la voie ferrée, alors que le train ralentissait sa marche, nous montions dans les wagons.

5 commentaires:

Unknown a dit…

L'espoir est la dernière chose que l'on perd, expliquait ma mère. Et nous étions toujours à la gare le jour prévu, à attendre l'arrivée du train. Un samedi parmi tant d'autres, presque sans m'en rendre compte, je m'étais fondu dans le groupe de fils de combattants et, à un kilomètre de la gare, dans un virage de la voie ferrée, alors que le train ralentissait la marche, nous étions monté dans les wagons.

Unknown a dit…

L'espoir est la dernière chose que l'on perd, expliquait ma mère. Et nous étions toujours à la gare le jour prévu, à attendre l'arrivée du train. Un samedi parmi tant d'autres, presque sans m'en rendre compte, je m'étais fondu dans le groupe de fils de combattants et, à un kilomètre de la gare, dans un virage de la voie ferrée, alors que le train ralentissait sa marche, nous étions montés dans les wagons.

Tradabordo a dit…

L'espoir est la dernière chose que l'on perd, expliquait [« affirmait » ? Comme tu préfères…] ma mère. Et nous étions toujours à la gare le jour prévu, à attendre l'arrivée du train. Un samedi parmi tant d'autres, presque sans m'en rendre compte, je m'étais fondu dans le groupe de fils de combattants et, [un simple point ?] à un kilomètre de la gare, dans un virage de la voie ferrée, alors que le train ralentissait sa marche, nous étions montés [temps ?] dans les wagons.

Unknown a dit…

L'espoir est la dernière chose que l'on perd, affirmait ma mère. Et nous étions toujours à la gare le jour prévu, à attendre l'arrivée du train. Un samedi parmi tant d'autres, presque sans m'en rendre compte, je m'étais fondu dans le groupe de fils de combattants. À un kilomètre de la gare, dans un virage de la voie ferrée, alors que le train ralentissait sa marche, nous montions dans les wagons.

Tradabordo a dit…

L'espoir est la dernière chose que l'on perd, affirmait ma mère. Et nous étions toujours à la gare le jour prévu, à attendre l'arrivée du train. Un samedi parmi tant d'autres, presque sans m'en rendre compte, je m'étais fondu dans le groupe de fils de combattants. À un kilomètre de la gare, dans un virage de la voie ferrée, alors que le train ralentissait sa marche, nous montions dans les wagons.

OK.