mercredi 19 août 2015

Projet Nathalie – phrases 63-71

Miró el cielo. Va a llover de nuevo, pensó Nicolás. Maldita lluvia. Un mes de estar corriéndole a la lluvia, levantando el puesto, toreando a la camioneta. Y estas putas fajas no se venden. Recogió la mercancía. Cargando el bulto, se dirigió a la bodega. Dejó las fajas en el lugar que le fue asignado y salió de allí pensando en no regresar. Tomó un microbús y se dirigió a la casa de doña Guillermina.

Traduction temporaire :
Il regarda le ciel. Il va de nouveau pleuvoir, pensa Nicolas. Maudite pluie ! Un mois passé à la fuir, à démonter le stand, à apprivoiser la camionnette. Et ces cassettes vidéos de merde qui ne se vendent pas ! Il ramassa la marchandise. Son carton dans les bras, il s'en alla vers le dépôt. Il posa les bandes à l'endroit qu'on lui avait attribué et quitta les lieux, pensant ne plus y retourner. Il monta à bord d'un petit bus et se dirigea vers la maison de doña Guillermina. 

12 commentaires:

Unknown a dit…

Il regarda le ciel.Il va pleuvoir à nouveau, pensa Nicolas. Maudite pluie. Un mois passé à la fuir, à démonter le stand, à épuiser la camionnette. Et ces bandes de merde qui ne se vendent pas. Il ramassa la marchandise. Portant le paquet, il s'en alla vers la cave. Il posa les bandes à l'endroit qu'on lui avait attribué et il sortit de là, pensant ne plus y retourner. Il monta à bord d'un petit bus et se dirigea chez doña Guillermina.

Tradabordo a dit…

Il regarda le ciel.[espace]Il va pleuvoir à nouveau [« de nouveau pleuvoir » ?], pensa Nicolas. Maudite pluie. [point d'exclamation ?] Un mois passé à la fuir, à démonter le stand, à épuiser [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux…] la camionnette. Et ces bandes [clair ?] de merde qui ne se vendent pas. Il ramassa la marchandise. Portant le paquet [« carton » ?], il s'en alla vers la cave [FS ?]. Il posa les bandes à l'endroit qu'on lui avait attribué et il sortit de là [naturel ?], pensant ne plus y retourner. Il monta à bord d'un petit bus et se dirigea chez [mal dit] doña Guillermina.

Unknown a dit…

Il regarda le ciel. Il va de nouveau pleuvoir, pensa Nicolas. Maudite pluie! Un mois passé à la fuir, à démonter le stand, à user la camionnette. Et ces bobines de merde qui ne se vendent pas. Il ramassa la marchandise. Portant le carton, il s'en alla vers le dépôt. Il posa les bandes à l'endroit qu'on lui avait attribué et il sortit de là-bas, pensant ne plus y retourner. Il monta à bord d'un petit bus et se dirigea vers la maison de doña Guillermina.

Tradabordo a dit…

Il regarda le ciel. Il va de nouveau pleuvoir, pensa Nicolas. Maudite pluie[espace avant les signes de ponctuation forts…]! Un mois passé à la fuir, à démonter le stand, à user [FS ?] la camionnette. Et ces bobines [comme du temps du cinema muet ? ;-))))) Sûre ?] de merde qui ne se vendent pas. Il ramassa la marchandise. Portant le carton [« Son carton dans les bras » ou quelque chose comme ça ?], il s'en alla vers le dépôt. Il posa les bandes à l'endroit qu'on lui avait attribué et il sortit de là-bas [mal dit], pensant ne plus y retourner. Il monta à bord d'un petit bus et se dirigea vers la maison de doña Guillermina.

Unknown a dit…

Il regarda le ciel. Il va de nouveau pleuvoir, pensa Nicolas. Maudite pluie ! Un mois passé à la fuir, à démonter le stand, à esquinter la camionnette. Et ces cassettes vidéos de merde qui ne se vendent pas. Il ramassa la marchandise. Son carton dans les bras, il s'en alla vers le dépôt. Il posa les bandes à l'endroit qu'on lui avait attribué et il quitta le lieu, pensant ne plus y retourner. Il monta à bord d'un petit bus et se dirigea vers la maison de doña Guillermina.

Tradabordo a dit…

Alors, cette première rentrée en tant que prof ? Ça se passe bien ?

Il regarda le ciel. Il va de nouveau pleuvoir, pensa Nicolas. Maudite pluie ! Un mois passé à la fuir, à démonter le stand, à esquinter [je pense que l'idée, c'est qu'il doit la gérer… avec autant de difficulté qu'on gère un taureau dans l'arène… Une idée ?] la camionnette. Et ces cassettes vidéos de merde qui ne se vendent pas. [point d'exclamation] Il ramassa la marchandise. Son carton dans les bras, il s'en alla vers le dépôt. Il posa les bandes à l'endroit qu'on lui avait attribué et il quitta le lieu [pluriel ?], pensant ne plus y retourner. Il monta à bord d'un petit bus et se dirigea vers la maison de doña Guillermina.

Unknown a dit…

Je pense à quelque chose dans l'idée de "malmener"?

Tradabordo a dit…

Non, l'idée est vraiment de gérer une bête récalcitrante, comme le torero doit gérer le taureau :-))))

Unknown a dit…

Lutter, apprivoiser,dompter ?

Tradabordo a dit…

Je trouve les deux derniers bien… Je te laisse trancher.

Unknown a dit…

Il regarda le ciel. Il va de nouveau pleuvoir, pensa Nicolas. Maudite pluie ! Un mois passé à la fuir, à démonter le stand, à apprivoiser la camionnette. Et ces cassettes vidéos de merde qui ne se vendent pas ! Il ramassa la marchandise. Son carton dans les bras, il s'en alla vers le dépôt. Il posa les bandes à l'endroit qu'on lui avait attribué et il quitta les lieux, pensant ne plus y retourner. Il monta à bord d'un petit bus et se dirigea vers la maison de doña Guillermina.

Tradabordo a dit…

Il regarda le ciel. Il va de nouveau pleuvoir, pensa Nicolas. Maudite pluie ! Un mois passé à la fuir, à démonter le stand, à apprivoiser la camionnette. Et ces cassettes vidéos de merde qui ne se vendent pas ! Il ramassa la marchandise. Son carton dans les bras, il s'en alla vers le dépôt. Il posa les bandes à l'endroit qu'on lui avait attribué et quitta les lieux, pensant ne plus y retourner. Il monta à bord d'un petit bus et se dirigea vers la maison de doña Guillermina.

OK.