vendredi 18 septembre 2015

Projet Cindy 4 – titre + dédicace + phrase 1-5

María Luisa Bombal (Chili)

El árbol

A Nina Anguita, gran artista, mágica amiga que supo dar vida y realidad a mi árbol imaginado; dedico el cuento que, sin saber, escribí para ella mucho antes de conocerla.

El pianista se sienta, tose por prejuicio y se concentra un instante. Las luces en racimo que alumbran la sala declinan lentamente hasta detenerse en un resplandor mortecino de brasa, al tiempo que una frase musical comienza a subir en el silencio, a desenvolverse, clara, estrecha y juiciosamente caprichosa. «Mozart, tal vez» piensa Brígida. Como de costumbre se ha olvidado de pedir el programa. «Mozart, tal vez, o Scarlatti...» ¡Sabía tan poca música!

Traduction temporaire :


María Luisa Bombal (Chili)

L'arbre (1931)

À Nina Anguita, une grande artiste, une amie magique qui a su donner vie et réalité à mon arbre imaginaire ; je lui dédie ce conte que j'ai écrit pour elle sans le savoir, longtemps avant de la connaître.
Le pianiste s'assied, tousse par pure habitude et se concentre un instant. Les lumières en grappe qui éclairent la salle déclinent lentement, jusqu'à une faible intensité de braise, tandis qu'une phrase musicale commence à monter dans le silence, à se dérouler, claire, étroite et judicieusement capricieuse. « Mozart, peut-être » pense Brígida. Comme d'habitude, elle a oublié de demander le programme. « Mozart, peut-être, ou Scarlatti… ». Elle en savait tellement peu sur la musique !

8 commentaires:

Unknown a dit…

María Luisa Bombal (Chili)

L'arbre (1931)

À Nina Anguita, grande artiste, amie magique qui sut donner vie et réalité à mon arbre imaginé ; je dédicace ce conte que, sans savoir, j'écrivis pour elle, longtemps avant de la connaître.


Le pianiste s'assied, tousse par habitude et se concentre un instant. Les lumières en grappe, qui éclairent la salle, baissent lentement d'intensité jusqu'à s'arrêter sur une faible lueur de braise, au même moment qu'une phrase musicale commence à monter dans le silence, à se dérouler, claire, étroite et judicieusement capricieuse. « Mozart, peut-être » pense Brígida. Comme d'habitude, elle a oublié de demander le programme. « Mozart, peut-être, ou Scarlatti ». Elle connaissait tellement peu de musique !

Tradabordo a dit…

María Luisa Bombal (Chili)

L'arbre (1931)

À Nina Anguita, [« une » ? J'hésite] grande artiste, [« une » ?] amie magique qui sut [temps ?] donner vie et réalité à mon arbre imaginé ; je dédicace [« dédier » ?] ce conte que, sans [« le » ?] savoir [je me demande si en plaçant cela ailleurs, ça ne nous permettrait pas de supprimer quelques virgules… la phrase est pas mal hachée, là, quand même, non ?], j'écrivis [temps ?] pour elle, longtemps avant de la connaître.

Le pianiste s'assied, tousse par habitude [pas mal, mais je me demande si c'est exactement ça… Faites un tour dans l'unilingue pour être sûre] et se concentre un instant. Les lumières en grappe, [la virgule ?] qui éclairent la salle, [la virgule ?] baissent [pourquoi vous changez ?] lentement d'intensité [virgule] jusqu'à s'arrêter sur [nécessaire ?] une faible [inexact ?] lueur de braise, au même moment qu'[assez lourd. Voyez si vous avez une autre solution]une phrase musicale commence à monter dans le silence, à se dérouler, claire, étroite et judicieusement [vérifiez quand même dans l'unilingue ; je ne dis pas que c'est faux…] capricieuse. « Mozart, peut-être » pense Brígida. Comme d'habitude, elle a oublié de demander le programme. « Mozart, peut-être, ou Scarlatti [les points de suspension] ». Elle connaissait tellement peu de musique [très mal dit] !

Unknown a dit…

María Luisa Bombal (Chili)

L'arbre (1931)

À Nina Anguita, une grande artiste, une amie magique qui a su donner vie et réalité à mon arbre imaginé ; je dédie ce conte que j'ai écrit pour elle sans le savoir, longtemps avant de la connaître.

Le pianiste s'assied, tousse par préjugé et se concentre un instant. Les lumières en grappe qui éclairent la salle déclinent lentement d'intensité, jusqu'à une faible lueur de braise, lorsqu'une phrase musicale commence à monter dans le silence, à se dérouler, claire, étroite et judicieusement capricieuse. « Mozart, peut-être » pense Brígida. Comme d'habitude, elle a oublié de demander le programme. « Mozart, peut-être, ou Scarlatti… ». Elle en savait tellement peu sur la musique !

Tradabordo a dit…

María Luisa Bombal (Chili)

L'arbre (1931)

À Nina Anguita, une grande artiste, une amie magique qui a su donner vie et réalité à mon arbre imaginé [« imginaire » ?] ; [virgule] je dédie [sinon, si vous laissez le point-virgule, il faudra ajouter un « lui »] ce conte que j'ai écrit pour elle sans le savoir, longtemps avant de la connaître.

Le pianiste s'assied, tousse par préjugé [« pure habitude » ?] et se concentre un instant. Les lumières en grappe qui éclairent la salle déclinent lentement d'intensité [nécessaire ? Le cas échéant, ça permettrait de le mettre pour étayer le petit bout d'après… Essaie], jusqu'à une faible lueur de braise, lorsqu'une phrase musicale commence à monter dans le silence, à se dérouler, claire, étroite et judicieusement capricieuse. « Mozart, peut-être » pense Brígida. Comme d'habitude, elle a oublié de demander le programme. « Mozart, peut-être, ou Scarlatti… ». Elle en savait tellement peu sur la musique !

Unknown a dit…

María Luisa Bombal (Chili)

L'arbre (1931)

À Nina Anguita, une grande artiste, une amie magique qui a su donner vie et réalité à mon arbre imaginaire ; je lui dédie ce conte que j'ai écrit pour elle sans le savoir, longtemps avant de la connaître.

Le pianiste s'assied, tousse par pure habitude et se concentre un instant. Les lumières en grappe qui éclairent la salle déclinent lentement, jusqu'à une faible intensité de braise, lorsqu'une phrase musicale commence à monter dans le silence, à se dérouler, claire, étroite et judicieusement capricieuse. « Mozart, peut-être » pense Brígida. Comme d'habitude, elle a oublié de demander le programme. « Mozart, peut-être, ou Scarlatti… ». Elle en savait tellement peu sur la musique !

Tradabordo a dit…

María Luisa Bombal (Chili)

L'arbre (1931)

À Nina Anguita, une grande artiste, une amie magique qui a su donner vie et réalité à mon arbre imaginaire ; je lui dédie ce conte que j'ai écrit pour elle sans le savoir, longtemps avant de la connaître.

Le pianiste s'assied, tousse par pure habitude et se concentre un instant. Les lumières en grappe qui éclairent la salle déclinent lentement, jusqu'à une faible intensité de braise, lorsqu'une [en esp., c'est « al tiempo »] phrase musicale commence à monter dans le silence, à se dérouler, claire, étroite et judicieusement capricieuse. « Mozart, peut-être » pense Brígida. Comme d'habitude, elle a oublié de demander le programme. « Mozart, peut-être, ou Scarlatti… ». Elle en savait tellement peu sur la musique !

Unknown a dit…

María Luisa Bombal (Chili)

L'arbre (1931)

À Nina Anguita, une grande artiste, une amie magique qui a su donner vie et réalité à mon arbre imaginaire ; je lui dédie ce conte que j'ai écrit pour elle sans le savoir, longtemps avant de la connaître.

Le pianiste s'assied, tousse par pure habitude et se concentre un instant. Les lumières en grappe qui éclairent la salle déclinent lentement, jusqu'à une faible intensité de braise, tandis qu'une phrase musicale commence à monter dans le silence, à se dérouler, claire, étroite et judicieusement capricieuse. « Mozart, peut-être » pense Brígida. Comme d'habitude, elle a oublié de demander le programme. « Mozart, peut-être, ou Scarlatti… ». Elle en savait tellement peu sur la musique !

Tradabordo a dit…

María Luisa Bombal (Chili)

L'arbre (1931)

À Nina Anguita, une grande artiste, une amie magique qui a su donner vie et réalité à mon arbre imaginaire ; je lui dédie ce conte que j'ai écrit pour elle sans le savoir, longtemps avant de la connaître.

Le pianiste s'assied, tousse par pure habitude et se concentre un instant. Les lumières en grappe qui éclairent la salle déclinent lentement, jusqu'à une faible intensité de braise, tandis qu'une phrase musicale commence à monter dans le silence, à se dérouler, claire, étroite et judicieusement capricieuse. « Mozart, peut-être » pense Brígida. Comme d'habitude, elle a oublié de demander le programme. « Mozart, peut-être, ou Scarlatti… ». Elle en savait tellement peu sur la musique !

OK.