mardi 13 octobre 2015

Projet Élodie 10 – phrases 148-154

Entonces la agarré por el pescuezo como si fuera su madre, la coloqué bajo la axila y apreté con fuerza para que no se soltara. ¿Matar a la gata?, me detuve de pronto, vaya una estupidez, y me puse a llorar aunque, a ratos, sus maullidos se oyeran más que los míos. Trágatelos, tonta. Y así entramos en aquel parque. Todo lo demás lo recuerdo de forma vaga. Estaba harta de mi hambre y de Micaela y sé que dejé a la gata sobre unas escaleras que daban a una calle cortada, solo había coches aparcados. Y sé que mi gata husmeaba el aire de la calle.

Traduction temporaire :
Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, la mis sous mon bras et serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité ! Je commençai à pleurer. Parfois, ses miaulements s'entendaient plus que mes sanglots. Ravale-les, idiote. Sur ce, nous entrâmes dans le parc. Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que j'abandonnai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

12 commentaires:

Elodie a dit…

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, je la mis sous mon aisselle et la serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité et me mis à pleurer bien que, de temps en temps, ses miaulements s'entendaient plus que les miens. Avale-les, idiote. Et c'est ainsi que nous entrâmes dans le parc. Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que je laissai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

Tradabordo a dit…

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, je la mis sous mon aisselle [« bras » ?] et la [nécessaire ?] serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité [point d'exclamation] et me mis [tu l'as déjà dans la phrase d'avant] à pleurer bien que [grammaire], de temps en temps, ses miaulements s'entendaient plus que les miens.


Avale-les, idiote. Et c'est ainsi que nous entrâmes dans le parc. Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que je laissai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

Elodie a dit…

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, je la mis sous mon bras et serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité ! et commençai à pleurer même si, de temps en temps, ses miaulements s'entendaient plus que les miens.

Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que je laissai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

Tradabordo a dit…

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, je la mis sous mon bras et serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité ! Et commençai à pleurer même si, de temps en temps [« parfois » ?], ses miaulements s'entendaient plus que les miens.

Il te manque un bout ici

Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que je laissai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

Elodie a dit…

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, je la mis sous mon bras et serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité ! Et commençai à pleurer même si, parfois, ses miaulements s'entendaient plus que les miens. Ravale-les, idiote. Et c'est ainsi que nous entrâmes dans le parc. Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que je laissai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

Tradabordo a dit…

Au fait, tu as mélangé du passé simple et du passé composé… Il faut que tu harmonises, sur la base de ce que tu as avant.

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, je la mis sous mon bras et serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité ! Et commençai à pleurer même si, parfois, ses miaulements s'entendaient plus que les miens. Ravale-les, idiote. Et c'est ainsi que nous entrâmes dans le parc. Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que je laissai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

Elodie a dit…

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, je la mis sous mon bras et serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité ! Et commençai à pleurer même si, parfois, ses miaulements s'entendaient plus que les miens. Ravale-les, idiote. Et c'est ainsi que nous entrâmes dans le parc. Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que je laissai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

Tradabordo a dit…

Entonces la agarré por el pescuezo como si fuera su madre, la coloqué bajo la axila y apreté con fuerza para que no se soltara. ¿Matar a la gata?, me detuve de pronto, vaya una estupidez, y me puse a llorar aunque, a ratos, sus maullidos se oyeran más que los míos. Trágatelos, tonta. Y así entramos en aquel parque. Todo lo demás lo recuerdo de forma vaga. Estaba harta de mi hambre y de Micaela y sé que dejé a la gata sobre unas escaleras que daban a una calle cortada, solo había coches aparcados. Y sé que mi gata husmeaba el aire de la calle.

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, je [nécessaire ?] la mis sous mon bras et serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité ! Et [« Je »] commençai à pleurer même si [je pense que tu devrais supprimer ; c'est bizarre], parfois, ses miaulements s'entendaient plus que les miens [la fille miaule ?]. Ravale-les, idiote. Et c'est ainsi que [« Sur ce » ?] nous entrâmes dans le parc. Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que je laissai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

Elodie a dit…

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, la mis sous mon bras et serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité ! Je commençai à pleurer, parfois, ses miaulements s'entendaient plus que mes sanglots. Ravale-les, idiote. Sur ce, nous entrâmes dans le parc. Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que je laissai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

Tradabordo a dit…

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, la mis sous mon bras et serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité ! Je commençai à pleurer, [point ?] parfois, ses miaulements s'entendaient plus que mes sanglots. Ravale-les, idiote. Sur ce, nous entrâmes dans le parc. Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que je laissai [« j'abandonnai » ? Comme tu veux…] la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

Elodie a dit…

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, la mis sous mon bras et serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité ! Je commençai à pleurer. Parfois, ses miaulements s'entendaient plus que mes sanglots. Ravale-les, idiote. Sur ce, nous entrâmes dans le parc. Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que j'abandonnai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

Tradabordo a dit…

Alors, je l'attrapai par le cou comme si j'étais sa mère, la mis sous mon bras et serrai fort pour ne pas qu'elle s'échappe. Tuer ma chatte ? Soudain, je m'arrêtai, quelle stupidité ! Je commençai à pleurer. Parfois, ses miaulements s'entendaient plus que mes sanglots. Ravale-les, idiote. Sur ce, nous entrâmes dans le parc. Tout le reste, je ne m'en souviens que vaguement. J'en avais marre de ma faim et de Micaela et je sais que j'abandonnai la chatte sur des marches qui donnaient sur une voie sans issue où il n'y avait que des voitures garées. Et je sais que ma chatte humait l'air de la rue.

OK.