lundi 1 février 2016

Projet Camille / Angélique – phrases 26-34

¡Qué mala suerte! ¿Por qué no se le habría ocurrido encerrarse con llave durante la experiencia. Ahora, con testigo, ya no podía resucitar; estaba muerto, definitivamente muerto. ¡Qué mala suerte!
Acechó a su mujer, casi desvanecida sobre su cadáver; y su propio cadáver, con la nariz como una proa entre las ondas de pelo de su mujer. Sus tres niñas irrumpieron a la carrera como si se disputaran un dulce, frenaron de golpe, poco a poco se acercaron y al rato todas lloraban, unas sobre otras. También él lloraba viéndose allí en el suelo, porque comprendió que estar muerto es como estar vivo, pero solo, muy solo.
Salió de la habitación, triste.
¿Adónde iría?

Traduction temporaire :

Quelle malchance ! Pourquoi ne lui était-il pas venu à l'esprit de s'enfermer à clé pendant son expérience ? Maintenant, en présence d'un témoin, il ne pouvait plus ressusciter ; il était mort, définitivement mort. Quelle malchance !
Il surveilla sa femme, presque évanouie au-dessus de son cadavre ; son propre cadavre, le nez dans les vagues des cheveux de sa femme. Ses trois filles firent irruption, comme si elles se disputaient pour un bonbon, elles s'arrêtèrent d'un coup, se rapprochèrent lentement, puis peu après, elles pleuraient toutes, les unes sur les autres. Lui aussi était en larmes, en se voyant là, par terre, parce qu'il comprit qu'être mort, c'est comme être vivant, mais seul, très seul.
Il sortit de la chambre, triste.
Où irait-il ?

6 commentaires:

Unknown a dit…

Quelle malchance ! Pourquoi ne lui était-il pas venu à l'esprit de s'enfermer à clé pendant son expérience ? Maintenant, en présence d'un témoin, il ne pouvait plus ressusciter ; il était mort, définitivement mort. Quelle malchance !
Il guetta sa femme, presque évanouie au-dessus de son cadavre ; et son propre cadavre, le nez entre les cheveux ondulés de sa femme. Ses trois filles firent irruption en courant comme si elles se disputaient pour un bonbon, elles s'arrêtèrent d'un coup, se rapprochèrent lentement, puis peu après toutes pleuraient, les unes sur les autres. Lui aussi pleurait, en se voyant là sur le sol, parce qu'il se rendit compte qu'être mort c'est comme être vivant, mais seul, très seul.
Il sortit de la chambre, triste.

Où irait-il ?

Tradabordo a dit…

Quelle malchance ! Pourquoi ne lui était-il pas venu à l'esprit de s'enfermer à clé pendant son expérience ? Maintenant, en présence d'un témoin, il ne pouvait plus ressusciter ; il était mort, définitivement mort. Quelle malchance !
Il guetta [ou « surveilla », ici ? J'hésite…] sa femme, presque évanouie au-dessus de son cadavre ; et [on supprime ce « et » ?] son propre cadavre, le nez entre [« dans » ; attention : réservez « entre » en français quand vous avez vraiment le sens au milieu de : je place un livre entre deux autres livres, etc.] les cheveux ondulés [vous avez le sens, mais je me demande si vous ne changez pas le style… Pas plus « poétique » en V.O. ?] de sa femme. Ses trois filles firent irruption en courant [redondant ?] [virgule] comme si elles se disputaient pour un bonbon, [virgule ?] elles s'arrêtèrent d'un coup, se rapprochèrent lentement, puis peu après toutes pleuraient, les unes sur les autres. Lui aussi pleurait [nécessaire ? Ou alors avec « en larmes » pour éviter une répétition ? Je vous laisse regarder ça], en se voyant là [virgule] sur le sol [ou « par terre » ?], parce qu'il se rendit compte [pourquoi vous changez ?] qu'être mort [toujours une virgule devant les « c'est » en milieu de phrase] c'est comme être vivant, mais seul, très seul.
Il sortit de la chambre, triste.
Où irait-il ?

Unknown a dit…

Quelle malchance ! Pourquoi ne lui était-il pas venu à l'esprit de s'enfermer à clé pendant son expérience ? Maintenant, en présence d'un témoin, il ne pouvait plus ressusciter ; il était mort, définitivement mort. Quelle malchance !
Il surveilla [en regardant la définition de ces 2 mots, il est vrai que "surveiller" est mieux que "guetter"] sa femme, presque évanouie au-dessus de son cadavre ; son propre cadavre, le nez dans les cheveux ondoyants de sa femme. Ses trois filles firent irruption, comme si elles se disputaient pour un bonbon, elles s'arrêtèrent d'un coup, se rapprochèrent lentement, puis peu après toutes pleuraient, les unes sur les autres. Lui aussi était en larme, en se voyant là, sur le sol [ou « par terre » ?], parce qu'il comprit qu'être mort, c'est comme être vivant, mais seul, très seul.
Il sortit de la chambre, triste.
Où irait-il ?

Tradabordo a dit…

Quelle malchance ! Pourquoi ne lui était-il pas venu à l'esprit de s'enfermer à clé pendant son expérience ? Maintenant, en présence d'un témoin, il ne pouvait plus ressusciter ; il était mort, définitivement mort. Quelle malchance !
Il surveilla sa femme, presque évanouie au-dessus de son cadavre ; son propre cadavre, le nez dans les cheveux ondoyants [ou plus littéral : « dans les vagues des cheveux » ? Je vous laisse trancher] de sa femme. Ses trois filles firent irruption, comme si elles se disputaient pour un bonbon, elles s'arrêtèrent d'un coup, se rapprochèrent lentement, puis peu après toutes pleuraient [ce petit bout n'est pas très naturel], les unes sur les autres. Lui aussi était en larme [pluriel], en se voyant là, sur le sol [ou « par terre » ?], parce qu'il comprit qu'être mort, c'est comme être vivant, mais seul, très seul.
Il sortit de la chambre, triste.
Où irait-il ?

Unknown a dit…

Quelle malchance ! Pourquoi ne lui était-il pas venu à l'esprit de s'enfermer à clé pendant son expérience ? Maintenant, en présence d'un témoin, il ne pouvait plus ressusciter ; il était mort, définitivement mort. Quelle malchance ! 
Il surveilla sa femme, presque évanouie au-dessus de son cadavre ; son propre cadavre, le nez dans les vagues des cheveux de sa femme. Ses trois filles firent irruption, comme si elles se disputaient pour un bonbon, elles s'arrêtèrent d'un coup, se rapprochèrent lentement, puis peu après, elles pleuraient toutes, les unes sur les autres. Lui aussi était en larmes, en se voyant là, par terre, parce qu'il comprit qu'être mort, c'est comme être vivant, mais seul, très seul. 
Il sortit de la chambre, triste.
Où irait-il ?

Tradabordo a dit…

Quelle malchance ! Pourquoi ne lui était-il pas venu à l'esprit de s'enfermer à clé pendant son expérience ? Maintenant, en présence d'un témoin, il ne pouvait plus ressusciter ; il était mort, définitivement mort. Quelle malchance !
Il surveilla sa femme, presque évanouie au-dessus de son cadavre ; son propre cadavre, le nez dans les vagues des cheveux de sa femme. Ses trois filles firent irruption, comme si elles se disputaient pour un bonbon, elles s'arrêtèrent d'un coup, se rapprochèrent lentement, puis peu après, elles pleuraient toutes, les unes sur les autres. Lui aussi était en larmes, en se voyant là, par terre, parce qu'il comprit qu'être mort, c'est comme être vivant, mais seul, très seul.
Il sortit de la chambre, triste.
Où irait-il ?

OK.