vendredi 26 février 2016

Projet Hadjer / Cécilia – phrases 34-45


Como decíamos, observamos con una ávida curiosidad los movimientos de ese joven. Vemos cómo arrastra los pies. Hace mucho tiempo que nadie le ha dicho nada agradable. Alcanza una lata de alubias del estante, y observa cuidadosamente el precio. Duda. Lo deja de nuevo en el mismo lugar, con mimo. Yo aspiro su exquisito aroma a desesperación. Luego abandona el supermercado, con una lata de cerveza y un paquete de arroz. Arrastramos los pies y el carro, y le seguimos. Él recorre, con el paso automático que otorga la rutina, un sendero por el que ha deambulado ya muchas veces. Vive en un bajo de una única habitación. Le contemplamos primero a través de la ventana, luego esperamos en el baño.

Traduction temporaire :
Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquise de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. Il parcourt du pas mécanique que confère la routine un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

18 commentaires:

Unknown a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune. Nous regardons comment il traîne des pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose au même endroit avec soin. J'aspire son exquis parfum de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un sac de riz. Nous traînons des pieds, et le chariot, et le suivons. Il parcourt, d’un pas automatique attribué par la routine, un chemin par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bains.

Tradabordo a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune [pas génial quand c'est tout seul ; ça fait pub : Hé, le jeune, viens cherchez bonheur chez… :-) + « homme » ou autre, si vous avez une idée]. Nous regardons comment il traîne des [« les » ? Vérifiez la fréquence d'usage en tapant les deux sur internet – n'oubliez pas les guillemets] pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose au même endroit avec soin [ou avec l'adverbe en « - ment » en le plaçant avant ? J'hésite… Essayez les deux et voyez ce qui est mieux]. J'aspire son exquis [placé après ?] parfum de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un sac [texte] de riz. Nous traînons des pieds, et le chariot, et [pas génial, les deux « et »] le suivons. Il parcourt, d’un pas automatique attribué [mal dit] par la routine [placé au début ?], un chemin [inexact] par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bains.

Unknown a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son parfum exquis de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, le chariot, et le suivons. Il parcourt, par la routine, d’un pas mécanique, un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bains.

Tradabordo a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune [déjà commenté ; il faut tenir compte de mes remarques d'une fois sur l'autre…]. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son parfum [ou « odeur » dans ce cas-là ? Tranchez] exquis de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, le [possessif ? J'hésite] chariot, et le suivons. Il parcourt, par la routine, d’un pas mécanique [pas ce que dit la V.O.], un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bains.

Cécilia Solvez a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une curiosité avide les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pied. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte d'haricot sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son parfum exquis de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds avec le chariot, et nous le suivons. Comme à son habitude, Il parcourt avec le pas mécanique un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

Cécilia Solvez a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquis de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, nôtre chariot, et le suivons. Comme à son habitude, il parcours d'un pas mécanique, un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bains.

Unknown a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme [désolé, problème de copier coller]. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquise de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. Il parcourt, par la routine, d’une vive démarche conférée par la routine, un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bains.

Cécilia Solvez a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquis de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre ( je viens de me relire et y a un accent sur le "o" de "notre" qui devrait pas y être mais c'est mon portable, enfin l'iPhone qui soit disant corrige des fautes mais c'est faux quelque fois quand il corrige) chariot, et le suivons. Comme à son habitude, il parcours d'un pas mécanique, un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

Tradabordo a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquis [grammaire] de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. Comme à son habitude, il parcours d'un pas mécanique [CS ; l'idée c'est que la routine engendre le fait qu'on finit agit par automatisme…], un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

Cécilia Solvez a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquise de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. La routine le pousse à parcourir, d'un pas mécanique, un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

Tradabordo a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquise de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. La routine le pousse à parcourir, d'un pas mécanique [pas exactement ça ; il faut quand même tenir compte du verbe « otorgar » ; voyez si ça fonctionne avec « conférer »], un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

Cécilia Solvez a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquise de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. Il parcourt d'un pas mécanique, conféré par la routine, un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

Tradabordo a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquise de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. Il parcourt d'un [« du »] pas mécanique, conféré par [sans la virgule + « que confère »] la routine, un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

Cécilia Solvez a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquise de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. Il parcourt du pas mécanique que confére la routine, un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

Tradabordo a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquise de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. Il parcourt du pas mécanique que confére [accent] la routine, [sans la virgule] un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

Cécilia Solvez a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquise de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. Il parcourt du pas mécanique que confère la routine ( je pensais que c'était juste la première virgule, j'avais mal compris) un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

Unknown a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquise de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. Il parcourt du pas mécanique que confère la routine un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

Tradabordo a dit…

Comme nous le disions, nous observons avec une avide curiosité les mouvements de ce jeune homme. Nous regardons comment il traîne les pieds. Cela fait longtemps que personne ne lui a rien dit de gentil. Il attrape une boîte de haricots sur l'étagère, et regarde attentivement le prix. Il hésite. Il la repose soigneusement au même endroit. J'aspire son odeur exquise de désespoir. Ensuite, il quitte le supermarché, avec une canette de bière et un paquet de riz. Nous traînons les pieds, notre chariot, et le suivons. Il parcourt du pas mécanique que confère la routine un sentier par lequel il est déjà passé plusieurs fois. Il vit dans un studio au rez-de-chaussée. Nous le contemplons d'abord à travers la fenêtre, puis nous attendons dans la salle de bain.

OK.