samedi 27 février 2016

Projet Justine / Nadia / Élise – phrases 368-377

¿Dónde los puedo ubicar? —interrogó Aníbal procurando disimular su ansiedad.
Están en Yugoslavia —respondió Milosevic—, en algún lugar de Serbia, lo cual quiere decir que no será nada fácil encontrarlos.
(¿Cómo lo supieron las González Vigil?, pensé. ¿Contarían con datos de buena ley o, sencillamente, se dispararon con una hipótesis que dio en el blanco?).
¿Y no les enviaron cartas?
Dos o tres en el primer año —sonrió Milosevic—. Eran unas cartas largas, colectivas, muy divertidas. Hablaban de la gente que conocían y de lo bien que se habían establecido a su llegada. También hablaban del mariscal Tito y del entusiasmo de la gente por el futuro del país. Luego dejaron de escribir y les perdimos el rastro.

Traduction temporaire :

— Où puis-je les trouver ? interrogea Annibal en tentant de dissimuler son anxiété.
— Ils sont en Yougoslavie, quelque part en Serbie, autant dire que cela ne sera pas facile, répondit Milosevic.
(Je réfléchis : comment les González Vigil l'avaient-elles su ? Avaient-elles obtenu des renseignements d'une source sûre ou avaient-elles simplement émis une hypothèse qui s'était avérée exacte ?).
— Et ils ne vous ont pas envoyé de lettres ?
— Deux ou trois la première année, sourit Milosevic. De longues lettres, collectives, très drôles. Ils y parlaient des gens qu'ils connaissaient, du fait que, dès leur arrivée, ils s'étaient bien installés. Ils y évoquaient aussi le maréchal Tito et l'enthousiasme des gens quant à l'avenir du pays. Ensuite, ils ont cessé d'écrire et nous avons perdu leur trace.

6 commentaires:

Justine a dit…

— Où puis-je les trouver ? interrogea Annibal en tentant de dissimuler son anxiété.
— Ils sont en Yougoslavie, quelque part en Serbie, ce qui veut dire que les trouver ne sera pas facile, répondit Milosevic.
(Comment l'avaient su les González Vigil ?, réfléchis-je. Avaient-elles obtenu des renseignements d'une source sûre ou avaient-elles simplement émis une hypothèse qui était allée se ficher en plein dans le mille ?).
— Et ils ne vous envoyèrent pas de lettres ?
— Deux ou trois la première année, sourit Milosevic. C'était de longues lettres, collectives, très drôles. Ils y parlaient des gens qu'ils connaissaient, du fait qu'ils s'étaient bien installés à leur arrivée. Ils y évoquaient aussi le maréchal Tito et l'enthousiasme des gens pour l'avenir du pays. Ensuite, ils cessèrent d'écrire et nous perdîmes leur trace.

Tradabordo a dit…

— Où puis-je les trouver ? interrogea Annibal en tentant de dissimuler son anxiété.
— Ils sont en Yougoslavie, quelque part en Serbie, ce qui veut [« autant » à la place de tout ça] dire que les trouver ne sera pas facile, répondit Milosevic.
(Comment l'avaient su les González Vigil [syntaxe] ?, [pas de virgule après un point] réfléchis-je. Avaient-elles obtenu des renseignements d'une source sûre ou avaient-elles simplement émis une hypothèse qui était allée se ficher en plein dans le mille [la fin n'est pas très naturelle] ?).
— Et ils ne vous envoyèrent [pas de passé simple dans les dialogues !!!!!!!!] pas de lettres ?
— Deux ou trois la première année, sourit Milosevic. C'était [nécessaire ?] de longues lettres, collectives, très drôles. Ils y parlaient des gens qu'ils connaissaient, du fait qu'ils s'étaient bien installés à leur arrivée [pas génial ce petit bout]. Ils y évoquaient aussi le maréchal Tito et l'enthousiasme des gens pour [« quant à » ? J'hésite…] l'avenir du pays. Ensuite, ils cessèrent d'écrire et nous perdîmes leur trace.

Justine a dit…

— Où puis-je les trouver ? interrogea Annibal en tentant de dissimuler son anxiété.
— Ils sont en Yougoslavie, quelque part en Serbie, autant dire que cela ne sera pas facile, répondit Milosevic.
(Je réfléchis, comment les González Vigil l'avaient-elles su ?. Avaient-elles obtenu des renseignements d'une source sûre ou avaient-elles simplement émis une hypothèse qui s'était avérée exacte ?).
— Et ils ne vous ont pas envoyé de lettres ?
— Deux ou trois la première année, sourit Milosevic. De longues lettres, collectives, très drôles. Ils y parlaient des gens qu'ils connaissaient, du fait que, dès leur arrivée, ils s'étaient bien installés. Ils y évoquaient aussi le maréchal Tito et l'enthousiasme des gens quant à l'avenir du pays. Ensuite, ils ont cessé d'écrire et nous avons perdu leur trace.

Tradabordo a dit…

— Où puis-je les trouver ? interrogea Annibal en tentant de dissimuler son anxiété.
— Ils sont en Yougoslavie, quelque part en Serbie, autant dire que cela ne sera pas facile, répondit Milosevic.
(Je réfléchis, [deux points] comment les González Vigil l'avaient-elles su ?. [PAS DE POINT APRÈS UN POINT !!!!!] Avaient-elles obtenu des renseignements d'une source sûre ou avaient-elles simplement émis une hypothèse qui s'était avérée exacte ?).
— Et ils ne vous ont pas envoyé de lettres ?
— Deux ou trois la première année, sourit Milosevic. De longues lettres, collectives, très drôles. Ils y parlaient des gens qu'ils connaissaient, du fait que, dès leur arrivée, ils s'étaient bien installés. Ils y évoquaient aussi le maréchal Tito et l'enthousiasme des gens quant à l'avenir du pays. Ensuite, ils ont cessé d'écrire et nous avons perdu leur trace.

Justine a dit…

— Où puis-je les trouver ? interrogea Annibal en tentant de dissimuler son anxiété.
— Ils sont en Yougoslavie, quelque part en Serbie, autant dire que cela ne sera pas facile, répondit Milosevic.
(Je réfléchis : comment les González Vigil l'avaient-elles su ? Avaient-elles obtenu des renseignements d'une source sûre ou avaient-elles simplement émis une hypothèse qui s'était avérée exacte ?).
— Et ils ne vous ont pas envoyé de lettres ?
— Deux ou trois la première année, sourit Milosevic. De longues lettres, collectives, très drôles. Ils y parlaient des gens qu'ils connaissaient, du fait que, dès leur arrivée, ils s'étaient bien installés. Ils y évoquaient aussi le maréchal Tito et l'enthousiasme des gens quant à l'avenir du pays. Ensuite, ils ont cessé d'écrire et nous avons perdu leur trace.

Tradabordo a dit…

— Où puis-je les trouver ? interrogea Annibal en tentant de dissimuler son anxiété.
— Ils sont en Yougoslavie, quelque part en Serbie, autant dire que cela ne sera pas facile, répondit Milosevic.
(Je réfléchis : comment les González Vigil l'avaient-elles su ? Avaient-elles obtenu des renseignements d'une source sûre ou avaient-elles simplement émis une hypothèse qui s'était avérée exacte ?).
— Et ils ne vous ont pas envoyé de lettres ?
— Deux ou trois la première année, sourit Milosevic. De longues lettres, collectives, très drôles. Ils y parlaient des gens qu'ils connaissaient, du fait que, dès leur arrivée, ils s'étaient bien installés. Ils y évoquaient aussi le maréchal Tito et l'enthousiasme des gens quant à l'avenir du pays. Ensuite, ils ont cessé d'écrire et nous avons perdu leur trace.

OK.