mardi 12 avril 2016

Projet Nancy 5 – phrases 97-109

No acostumbraban saludarse. —¿Qué traes? A veces a ella no la dejaban entrar. O, sencillamente, dejaba de ir para realizar otras labores, y entonces el marido, impaciente, averiguaba al enfermero: —Ramón, ¿no vino hoy “mi patrona”? La mujer. La mujer lavaba de la mañana a la noche, pero el producto pecuniario de este prolongado esfuerzo era corto para las necesidades a satisfacer. Un día la mujer fué a ver al caudillo radical del barrio. —Vea, doctor; por favor, usted que tiene tantas relaciones, a ver si me consigue algunas familias para lavarles la ropa. Mi marido es radical, ¿sabe?, siempre fué radical. Ella sola, sin hombres, sin peones, sola, ¡prodigio de mujer!, se arregló, sola, para mudarse a una piecita de un populoso conventillo. Ese día la animosa mujer se echó encima el colchón y anduvo con él sobre el hombro, las nueve cuadras del camino. Volvió. Cogió el elástico.

Traduction temporaire :
Ils n'en avaient pas l'habitude. Qu'est-ce que tu m'apportes ? Mais parfois, on ne la laissait pas entrer. Ou elle cessait simplement d'y aller afin d'accomplir d'autres tâches ; son mari s'enquérait alors impatiemment auprès de l'infirmier : Ramón, « ma patronne » n'est pas venue aujourd'hui ? La femme. La femme effectuait des ménages du matin au soir, mais le fruit pécuniaire de cet effort prolongé était mince par rapport aux besoins à couvrir. Un jour, elle rendit visite au chef du parti radical du quartier. Écoutez, docteur, s'il vous plaît, vous qui avez tant de relations, vous allez bien me dégoter quelques familles à qui je pourrais laver le linge, n'est-ce pas ? Mon mari est radical, vous savez ? Depuis toujours. Toute seule, sans hommes, sans manœuvres, vraiment seule - quelle femme prodigieuse !- elle se débrouilla sans l'aide de personne pour déménager dans une petite pièce d'un couvent populeux. Ce jour-là, cette femme courageuse avait chargé le matelas sur son épaule pour parcourir les neuf cents mètres du chemin. Elle était repartie chercher le sommier.

6 commentaires:

Nancy a dit…

Ils n'en avaient pas l'habitude. Qu'est-ce que tu m'apportes? Parfois, on ne la laissait pas entrer. Ou, simplement elle arrêtait d'y aller afin d'accomplir d'autres travaux et alors, son mari, impatient, s'enquérait auprès de l'infirmier de service : Ramón, « ma patronne » n'est pas venue aujourd'hui ? La femme. La femme effectuait des ménages du matin au soir, mais l'avantage pécuniaire de cet effort prolongé était mince par rapport aux besoins à satisfaire. Un jour, elle rendit visite au chef du parti radical du quartier. Écoutez, docteur, s'il vous plaît, vous qui avez tant de relations, vous me trouverez bien des familles pour que je leur lave le linge. Mon mari est radical, vous savez ? Depuis toujours. Elle-même, sans hommes, sans manœuvres, seule, quelle femme prodigieuse, elle se débrouilla seule pour déménager dans une petite pièce d'un couvent populeux. Ce jour-là, la femme courageuse avait chargé le matelas sur son épaule et parcouru ainsi les neuf cents mètres du chemin. Elle était repartie. Elle avait pris le sommier.

Tradabordo a dit…

Ils n'en avaient pas l'habitude [ça s'enchaîne correctement avec ce qui précède ?]. Qu'est-ce que tu m'apportes[espace]? Parfois, on ne la laissait pas entrer. Ou, simplement [virgule ?] elle arrêtait [« cessait » ?] d'y aller afin d'accomplir d'autres travaux [naturel ?] et alors, son mari, impatient [ou avec l'adverbe + placé après ?], s'enquérait auprès de l'infirmier de service [pourquoi cet ajout ?] : Ramón, « ma patronne » n'est pas venue aujourd'hui ? La [possessif ? Je ne suis pas certaine de suivre… À toi de me dire] femme. La femme effectuait des ménages du matin au soir, mais l'avantage [« fruit » ?] pécuniaire de cet effort prolongé était mince par rapport aux besoins à satisfaire. Un jour, elle rendit visite au chef du parti radical du quartier. Écoutez, docteur, s'il vous plaît, vous qui avez tant de relations, vous [chevilles : « allez bien »] me trouverez [ce serait à l'infinitif, du coup] bien des familles pour que je leur [en passant par « à qui » ?] lave le linge. Mon mari est radical, vous savez ? Depuis toujours. Elle-même [CS ?], sans hommes, sans manœuvres, seule, quelle femme prodigieuse, elle se débrouilla seule [un moyen de ne pas répéter ?] pour déménager dans une petite pièce d'un couvent populeux. Ce jour-là, la femme courageuse avait chargé le matelas sur son épaule et parcouru ainsi nécessaire [?] les neuf cents mètres du chemin. Elle était repartie. Elle avait pris le sommier.

Nancy a dit…

Ils n'en avaient pas l'habitude [ça s'enchaîne correctement avec ce qui précède ?/ Phrase précédente : "Le mari et sa femme ne se saluaient pas"]. Qu'est-ce que tu m'apportes ? Parfois, on ne la laissait pas entrer. Ou, simplement, elle cessait d'y aller afin d'accomplir d'autres tâches et alors, son mari s'enquérait impatiemment auprès de l'infirmier : Ramón, « ma patronne » n'est pas venue aujourd'hui ? La [possessif ? Je ne suis pas certaine de suivre… À toi de me dire./ Il y a eu précédemment "L'homme."] femme. La femme effectuait des ménages du matin au soir, mais le fruit pécuniaire de cet effort prolongé était mince par rapport aux besoins à satisfaire. Un jour, elle rendit visite au chef du parti radical du quartier. Écoutez, docteur, s'il vous plaît, vous qui avez tant de relations, vous allez bien me trouver des familles à qui je pourrais laver le linge. Mon mari est radical, vous savez ? Depuis toujours. Juste elle, sans hommes, sans manœuvres, seule, quelle femme prodigieuse, elle se débrouilla sans l'aide de personne pour déménager dans une petite pièce d'un couvent populeux. Ce jour-là, la femme courageuse avait chargé le matelas sur son épaule pour parcourir les neuf cents mètres du chemin. Elle était repartie. Elle avait pris le sommier.

Tradabordo a dit…

Ils n'en avaient pas l'habitude. Qu'est-ce que tu m'apportes ? Parfois, on ne la laissait pas entrer. Ou, simplement, elle cessait d'y aller afin d'accomplir d'autres tâches et alors, son mari s'enquérait impatiemment auprès de l'infirmier : Ramón, « ma patronne » n'est pas venue aujourd'hui ? La femme. La femme effectuait des ménages du matin au soir, mais le fruit pécuniaire de cet effort prolongé était mince par rapport aux besoins à satisfaire [« couvrir » ? J'hésite]. Un jour, elle rendit visite au chef du parti radical du quartier. Écoutez, docteur, s'il vous plaît, vous qui avez tant de relations, vous allez bien me trouver des familles à qui je pourrais laver le linge. Mon mari est radical, vous savez ? Depuis toujours. Juste elle, sans hommes, sans manœuvres, seule, quelle femme prodigieuse, elle se débrouilla sans l'aide de personne pour déménager dans une petite pièce d'un couvent populeux. Ce jour-là, la femme courageuse avait chargé le matelas sur son épaule pour parcourir les neuf cents mètres du chemin. Elle était repartie. Elle avait pris le sommier.

À part les petites choses mentionnées, je trouve que l'ensemble est un peu raide… Vois si tu peux mettre un peu de naturel dans tout ça.

Nancy a dit…

Oui, tu as raison…

Ils n'en avaient pas l'habitude. Qu'est-ce que tu m'apportes ? Mais parfois, on ne la laissait pas entrer. Ou elle cessait simplement d'y aller afin d'accomplir d'autres tâches ; son mari s'enquérait alors impatiemment auprès de l'infirmier : Ramón, « ma patronne » n'est pas venue aujourd'hui ? La femme. La femme effectuait des ménages du matin au soir, mais le fruit pécuniaire de cet effort prolongé était mince par rapport aux besoins à couvrir. Un jour, elle rendit visite au chef du parti radical du quartier. Écoutez, docteur, s'il vous plaît, vous qui avez tant de relations, vous allez bien me dégoter quelques familles à qui je pourrais laver le linge, n'est-ce pas ? Mon mari est radical, vous savez ? Depuis toujours. Toute seule, sans hommes, sans manœuvres, vraiment seule - quelle femme prodigieuse !- elle se débrouilla sans l'aide de personne pour déménager dans une petite pièce d'un couvent populeux. Ce jour-là, cette femme courageuse avait chargé le matelas sur son épaule pour parcourir les neuf cents mètres du chemin. Elle était repartie chercher le sommier.

Tradabordo a dit…

Ils n'en avaient pas l'habitude. Qu'est-ce que tu m'apportes ? Mais parfois, on ne la laissait pas entrer. Ou elle cessait simplement d'y aller afin d'accomplir d'autres tâches ; son mari s'enquérait alors impatiemment auprès de l'infirmier : Ramón, « ma patronne » n'est pas venue aujourd'hui ? La femme. La femme effectuait des ménages du matin au soir, mais le fruit pécuniaire de cet effort prolongé était mince par rapport aux besoins à couvrir. Un jour, elle rendit visite au chef du parti radical du quartier. Écoutez, docteur, s'il vous plaît, vous qui avez tant de relations, vous allez bien me dégoter quelques familles à qui je pourrais laver le linge, n'est-ce pas ? Mon mari est radical, vous savez ? Depuis toujours. Toute seule, sans hommes, sans manœuvres, vraiment seule - quelle femme prodigieuse !- elle se débrouilla sans l'aide de personne pour déménager dans une petite pièce d'un couvent populeux. Ce jour-là, cette femme courageuse avait chargé le matelas sur son épaule pour parcourir les neuf cents mètres du chemin. Elle était repartie chercher le sommier.

OK.