lundi 12 septembre 2016

Projet Chloé T. 3 – phrases 316-324

–¿Dijiste eso, anda huevón, en serio? –pregunta Iosú.
–Sí –responde Jualma–, estaba muerto de miedo. La metieron dentro del patrullero y arrancaron. Aleh no dejó de mirarme. No estoy muy seguro, pero de sus ojos resbalaban gruesas lágrimas, o quizás lo que vi era la lluvia que mojaba la luna del patrullero. Si lloraba, realmente me quería, pero nunca podré saberlo, fue la última vez, no volví a verla más.
–La cagaste, la cagaste bien feo, causa...
–Sí, pues.
–¿Y no fuiste detrás de ella o a avisar a su vieja?

Traduction temporaire :
— T’as dit ça, vas-y mec, sérieux ? questionne Iosú.
— Si, j’étais mort de peur. Ils l’ont mise dans la voiture et ont démarré. Aleh n’a pas cessé de me regarder. Je suis pas bien sûr, mais de grosses larmes coulaient de ses yeux, ou peut-être ai-je confondu avec la pluie qui mouillait la lunette arrière. Si elle pleurait, elle m’aimait réellement. Et je pourrai jamais le savoir, c’était la dernière fois, je l’ai jamais revue.
— T’as merdé, t’as vraiment bien merdé, mon pote…
— Ouais, t’as raison.
— Et t’as pas couru après elle ou averti sa mère ?

8 commentaires:

Mme B. a dit…

— T’as dit ça, vas-y mec, sérieux ? demande Iosú.
— Oui, j’étais mort de peur. Ils l’ont mis dans le véhicule et ont démarré. Aleh n’a pas cessé de me regarder. Je suis pas sûr, mais de grosses larmes coulaient de ses yeux, ou peut-être que ce que j’ai vu était la pluie qui mouillait la vitre de la voiture. Si elle pleurait, elle m’aimait réellement. Mais je pourrai jamais le savoir, c’était la dernière fois, je ne l’ai jamais revue.
— T’as merdé, t’as vraiment bien merdé, mon pote…
— Ouais, t’as raison.
— Et t’as pas couru après elle ou averti sa mère ?

Tradabordo a dit…

— T’as dit ça, vas-y mec [texte], sérieux ? demande [il doit y avoir mieux] Iosú.
— Oui [« Si »], j’étais mort de peur. Ils l’ont mis [« mise » ?] dans le véhicule [pas très naturel] et ont démarré. Aleh n’a pas cessé de me regarder. Je suis pas [« muy »] sûr, mais de grosses larmes coulaient de ses yeux, ou peut-être que ce que j’ai vu était [bof] la pluie qui mouillait la vitre [« luna » ? Lus précis ?] de la voiture [nécessaire ?]. Si elle pleurait, elle m’aimait réellement. Mais [tu en as déjà un avant] je pourrai jamais le savoir, c’était la dernière fois, je ne l’ai jamais revue.
— T’as merdé, t’as vraiment bien merdé, mon pote…
— Ouais, t’as raison.
— Et t’as pas couru après elle ou averti sa mère ?

Mme B. a dit…

— T’as dit ça, vas-y mec [texte // ben je me demandais si « huevón » n’avait pas un sens plus général et amical comme souvent au Pérou et Chili : http://www.jergasdehablahispana.org/Index.php?pais=&palabra=huev%F3n&submit=Buscar&tipobusqueda=0], sérieux ? questionne Iosú.
— Si, j’étais mort de peur. Ils l’ont mise dans la voiture et ont démarré. Aleh n’a pas cessé de me regarder. Je suis pas bien sûr, mais de grosses larmes coulaient de ses yeux, ou peut-être ai-je confondu avec la pluie qui mouillait le pare-brise. Si elle pleurait, elle m’aimait réellement. Et je pourrai jamais le savoir, c’était la dernière fois, je l’ai jamais revue.
— T’as merdé, t’as vraiment bien merdé, mon pote…
— Ouais, t’as raison.
— Et t’as pas couru après elle ou averti sa mère ?

Tradabordo a dit…

— T’as dit ça, vas-y mec, sérieux ? questionne Iosú.
— Si, j’étais mort de peur. Ils l’ont mise dans la voiture et ont démarré. Aleh n’a pas cessé de me regarder. Je suis pas bien sûr, mais de grosses larmes coulaient de ses yeux, ou peut-être ai-je confondu avec la pluie qui mouillait le pare-brise [pas celle de derrière ? Vérifie]. Si elle pleurait, elle m’aimait réellement. Et je pourrai jamais le savoir, c’était la dernière fois, je l’ai jamais revue.
— T’as merdé, t’as vraiment bien merdé, mon pote…
— Ouais, t’as raison.
— Et t’as pas couru après elle ou averti sa mère ?

Mme B. a dit…

— T’as dit ça, vas-y mec, sérieux ? questionne Iosú.
— Si, j’étais mort de peur. Ils l’ont mise dans la voiture et ont démarré. Aleh n’a pas cessé de me regarder. Je suis pas bien sûr, mais de grosses larmes coulaient de ses yeux, ou peut-être ai-je confondu avec la pluie qui mouillait le pare-brise [pas celle de derrière ? Vérifie // Apparemment, « luna » est plutôt générique, on rajoute « delantera » ou « trasera » pour plus de précision. Tu préfères qu’on précise quand même ici ?]. Si elle pleurait, elle m’aimait réellement. Et je pourrai jamais le savoir, c’était la dernière fois, je l’ai jamais revue.
— T’as merdé, t’as vraiment bien merdé, mon pote…
— Ouais, t’as raison.
— Et t’as pas couru après elle ou averti sa mère ?

Tradabordo a dit…

— T’as dit ça, vas-y mec, sérieux ? questionne Iosú.
— Si, j’étais mort de peur. Ils l’ont mise dans la voiture et ont démarré. Aleh n’a pas cessé de me regarder. Je suis pas bien sûr, mais de grosses larmes coulaient de ses yeux, ou peut-être ai-je confondu avec la pluie qui mouillait le pare-brise [pas celle de derrière ? Vérifie // Apparemment, « luna » est plutôt générique, on rajoute « delantera » ou « trasera » pour plus de précision. Tu préfères qu’on précise quand même ici ? //// pare-brise, c'est forcément devant, non ? Or, je pense qu'ils se regardent plutôt depuis l'arrière]. Si elle pleurait, elle m’aimait réellement. Et je pourrai jamais le savoir, c’était la dernière fois, je l’ai jamais revue.
— T’as merdé, t’as vraiment bien merdé, mon pote…
— Ouais, t’as raison.
— Et t’as pas couru après elle ou averti sa mère ?

Mme B. a dit…

— T’as dit ça, vas-y mec, sérieux ? questionne Iosú.
— Si, j’étais mort de peur. Ils l’ont mise dans la voiture et ont démarré. Aleh n’a pas cessé de me regarder. Je suis pas bien sûr, mais de grosses larmes coulaient de ses yeux, ou peut-être ai-je confondu avec la pluie qui mouillait la lunette ["arrière"? pour préciser et éviter "voiture"?]. Si elle pleurait, elle m’aimait réellement. Et je pourrai jamais le savoir, c’était la dernière fois, je l’ai jamais revue.
— T’as merdé, t’as vraiment bien merdé, mon pote…
— Ouais, t’as raison.
— Et t’as pas couru après elle ou averti sa mère ?

Tradabordo a dit…

— T’as dit ça, vas-y mec, sérieux ? questionne Iosú.
— Si, j’étais mort de peur. Ils l’ont mise dans la voiture et ont démarré. Aleh n’a pas cessé de me regarder. Je suis pas bien sûr, mais de grosses larmes coulaient de ses yeux, ou peut-être ai-je confondu avec la pluie qui mouillait la lunette arrière. Si elle pleurait, elle m’aimait réellement. Et je pourrai jamais le savoir, c’était la dernière fois, je l’ai jamais revue.
— T’as merdé, t’as vraiment bien merdé, mon pote…
— Ouais, t’as raison.
— Et t’as pas couru après elle ou averti sa mère ?

OK.