mardi 1 novembre 2016

Projet Sabrina / Hadjer – phrases 237-242

Ramírez se quedó petrificado al ver a la criatura. “Este era el monstruo de Trepaud”, pensó. Sin escapatoria, la criatura se abalanzó sobre él, cortando su carne y rompiendo sus huesos a mordidas. Cuando la criatura terminó con Ramírez, desapareció dejando una estela de luz en el despacho. David abrió sus ojos y descubrió el lugar intacto, como si nada hubiera pasado. Lo único extraño era que la cabeza de Ramírez yacía en el piso junto con un lienzo y una navaja.

Traduction temporaire :
En apercevant la créature, Ramírez resta pétrifié. « Voilà donc le monstre de Trépaud », pensa-t-il. Il ne pouvait pas lui échapper ; elle se jeta sur lui, déchira sa chair et le mordit à lui en briser les os. Lorsqu'elle en eut fini avec Ramírez, elle disparut, laissant une traînée de lumière dans le bureau. David ouvrit les yeux. L’endroit lui apparut intact, comme si rien ne s’était passé. Une seule chose étrange : la tête de Ramírez gisait dans la pièce, près d’une toile et d’un couteau.

7 commentaires:

Sabrina a dit…

Il répète 3 fois "criatura" en 2 lignes. J'en ai quand même laissé 2.

En apercevant la créature, Ramírez resta pétrifié. « Voilà le monstre de Trépaud », pensa-t-il. Sans échappatoire possible, la créature se jeta sur lui, déchirant sa chair et le mordant à en briser ses os. Lorsqu'elle en eut fini avec Ramírez, elle disparut en laissant une traînée de lumière dans le bureau. David ouvrit les yeux et découvrit l’endroit intact, comme si rien ne s’était passé. Une seule chose étrange : la tête de Ramírez gisait dans la pièce, près d’une toile et d’un couteau.

Tradabordo a dit…

En apercevant la créature [ou juste avec un « l' » ?], Ramírez resta pétrifié. « Voilà [cheville : « donc » ? Comme tu veux…] le monstre de Trépaud », pensa-t-il. Sans échappatoire possible [construction bizarre ; on dirait que c'est le créature qui n'a pas d'échappatoire…], la créature se jeta sur lui, déchirant sa [possessif ?] chair et le mordant à en briser ses os [construction ?]. Lorsqu'elle en eut fini avec Ramírez, elle disparut en [juste une virgule] laissant une traînée de lumière dans le bureau. David ouvrit les yeux et découvrit l’endroit intact [le début n'est pas terrible], comme si rien ne s’était passé. Une seule chose étrange : la tête de Ramírez gisait dans la pièce, près d’une toile et d’un couteau.

Sabrina a dit…

Dans l'extrait précédent, le mot "créature" est un peu loin et j'ai peur qu'en ne mettant que "l'", on ne sache pas immédiatement à quoi le pronom renvoie. Je vais essayer de trouver autre chose.
Un oui à la cheville ! Merci :)
Je reprends le reste :)

En apercevant la créature, Ramírez resta pétrifié. « Voilà donc le monstre de Trépaud », pensa-t-il. Il ne pouvait pas lui échapper ; elle se jeta sur lui, déchira la chair et le mordit à en briser ses os. Lorsqu'elle en eut fini avec Ramírez, elle disparut, laissant une traînée de lumière dans le bureau. David ouvrit les yeux et l’endroit lui apparut intact, comme si rien ne s’était passé. Une seule chose étrange : la tête de Ramírez gisait dans la pièce, près d’une toile et d’un couteau.

Tradabordo a dit…

En apercevant la créature, Ramírez resta pétrifié. « Voilà donc le monstre de Trépaud », pensa-t-il. Il ne pouvait pas lui échapper ; elle se jeta sur lui, déchira la [possessif ? Mieux, finalement] chair et le mordit à en briser ses os [« à lui en… les… » ? Essaie et vois si c'est mieux]. Lorsqu'elle en eut fini avec Ramírez, elle disparut, laissant une traînée de lumière dans le bureau. David ouvrit les yeux et [juste un point ?] l’endroit lui apparut intact, comme si rien ne s’était passé. Une seule chose étrange : la tête de Ramírez gisait dans la pièce, près d’une toile et d’un couteau.

Sabrina a dit…

J'avais pensé aussi à "lui déchira la chair". Mais si on met "à lui en briser les os" ensuite, ça na va plus. Et comme j'adhère à "à lui en briser les os", hop, on remet le possessif ;).

En apercevant la créature, Ramírez resta pétrifié. « Voilà donc le monstre de Trépaud », pensa-t-il. Il ne pouvait pas lui échapper ; elle se jeta sur lui, déchira sa chair et le mordit à lui en briser les os. Lorsqu'elle en eut fini avec Ramírez, elle disparut, laissant une traînée de lumière dans le bureau. David ouvrit les yeux. L’endroit lui apparut intact, comme si rien ne s’était passé. Une seule chose étrange : la tête de Ramírez gisait dans la pièce, près d’une toile et d’un couteau.

Sabrina a dit…

J'avais pensé aussi à "lui déchira la chair". Mais si on met "à lui en briser les os" ensuite, ça na va plus. Et comme j'adhère à "à lui en briser les os", hop, on remet le possessif ;).

En apercevant la créature, Ramírez resta pétrifié. « Voilà donc le monstre de Trépaud », pensa-t-il. Il ne pouvait pas lui échapper ; elle se jeta sur lui, déchira sa chair et le mordit à lui en briser les os. Lorsqu'elle en eut fini avec Ramírez, elle disparut, laissant une traînée de lumière dans le bureau. David ouvrit les yeux. L’endroit lui apparut intact, comme si rien ne s’était passé. Une seule chose étrange : la tête de Ramírez gisait dans la pièce, près d’une toile et d’un couteau.

Tradabordo a dit…

En apercevant la créature, Ramírez resta pétrifié. « Voilà donc le monstre de Trépaud », pensa-t-il. Il ne pouvait pas lui échapper ; elle se jeta sur lui, déchira sa chair et le mordit à lui en briser les os. Lorsqu'elle en eut fini avec Ramírez, elle disparut, laissant une traînée de lumière dans le bureau. David ouvrit les yeux. L’endroit lui apparut intact, comme si rien ne s’était passé. Une seule chose étrange : la tête de Ramírez gisait dans la pièce, près d’une toile et d’un couteau.

OK.

Tu peux relire l'ensemble – super attentivement… ; pas juste pour les coquilles, hein… également pour une éventuelle reprise de passages qui n'iraient pas.