mardi 5 décembre 2017

Projet Hélène / Audrey – phrases 171-172

En ese momento me pareció que soltaba la rata y que extendía ambos brazos como si fueran alas, y yo volví a correr, corrí escuchando el castañeteo de mis dientes, con las uñas hundiéndose en las palmas de mis manos, corrí bajo la noche sin luna, con el terror agarrado a mi espalda y sin atreverme a mirar atrás. Cuando arribé a mi casa, después de ese trayecto para mí infinito, mi madre aún no había regresado.

Traduction temporaire :
À cet instant, il me sembla qu'elle lâchait le rat et déployait ses deux bras, telles des ailes. Moi, je repris ma course. Je courus, entendant le claquement de mes dents, tandis que mes ongles s'enfonçaient dans les paumes de mes mains. Je courus dans la nuit sans lune, la terreur à mes trousses et sans oser regarder en arrière. Quand je débarquai chez moi, au terme de ce trajet infini pour moi, ma mère n’était pas encore rentrée.

10 commentaires:

Audrey a dit…

À cet instant, il me sembla qu’elle lâchait le rat et qu’elle étendait ses bras comme deux ailes, et moi, je me remis à courir ; je courus en écoutant mes dents claquer, les ongles plantés dans la paume de mes mains, je courus dans la nuit sans lune, la terreur à mes trousses et sans oser regarder derrière. Lorsque j’atteignis ma maison, après ce trajet qui m’avait semblé infini, ma mère n’était pas encore rentrée.

Hélène a dit…

En ese momento me pareció que soltaba la rata y que extendía ambos brazos como si fueran alas, y yo volví a correr, corrí escuchando el castañeteo de mis dientes, con las uñas hundiéndose en las palmas de mis manos, corrí bajo la noche sin luna, con el terror agarrado a mi espalda y sin atreverme a mirar atrás. Cuando arribé a mi casa, después de ese trayecto para mí infinito, mi madre aún no había regresado.

Il me sembla qu’à cet instant elle lâchait le rat et déployait ses deux bras, telles des ailes. Moi, je repris ma course, je courus, écoutant le claquement de mes dents, mes ongles s’enfonçant dans les paumes de mes mains. Je courus dans la nuit noire, la terreur accrochée au dos et sans oser regarder en arrière. Quand je débarquai chez moi, au terme de ce trajet infini pour moi, ma mère n’était pas encore rentrée.

Tradabordo a dit…

Je prends la propo d'Hélène parce qu'il y a la V.O. avec. Plus simple pour moi…

En ese momento me pareció que soltaba la rata y que extendía ambos brazos como si fueran alas, y yo volví a correr, corrí escuchando el castañeteo de mis dientes, con las uñas hundiéndose en las palmas de mis manos, corrí bajo la noche sin luna, con el terror agarrado a mi espalda y sin atreverme a mirar atrás. Cuando arribé a mi casa, después de ese trayecto para mí infinito, mi madre aún no había regresado.

Il me sembla qu’à cet instant [j'hésite sur le changement de syntaxe ; nécessaire ? Si oui, ok, mais ajoute une virgule…] elle lâchait le rat et déployait ses deux bras, telles des ailes. Moi, je repris ma course, [point ? ] je courus, [« en » ? J'hésite] écoutant [« entendant » ?] le claquement de mes dents, mes ongles s’enfonçant [« pllantés » ?] dans les paumes de mes mains. Je courus dans la nuit noire [pas plus près de la V.O. ?], la terreur accrochée au dos [bof ; pas très fluide] et sans oser regarder en arrière. Quand je débarquai chez moi, au terme de ce trajet infini pour moi, ma mère n’était pas encore rentrée.

Audrey a dit…

En ese momento me pareció que soltaba la rata y que extendía ambos brazos como si fueran alas, y yo volví a correr, corrí escuchando el castañeteo de mis dientes, con las uñas hundiéndose en las palmas de mis manos, corrí bajo la noche sin luna, con el terror agarrado a mi espalda y sin atreverme a mirar atrás. Cuando arribé a mi casa, después de ese trayecto para mí infinito, mi madre aún no había regresado.

Il me sembla qu’à cet instant, elle lâchait le rat et déployait ses deux bras, telles des ailes. Moi, je repris ma course. Je courus, en entendant le claquement de mes dents, mes ongles plantés dans les paumes de mes mains. Je courus dans la nuit sans lune, la terreur à mes trousses et sans oser regarder derrière. Lorsque j’atteignis ma maison, après ce trajet qui m’avait semblé infini, ma mère n’était pas encore rentrée.

Hélène a dit…

En ese momento me pareció que soltaba la rata y que extendía ambos brazos como si fueran alas, y yo volví a correr, corrí escuchando el castañeteo de mis dientes, con las uñas hundiéndose en las palmas de mis manos, corrí bajo la noche sin luna, con el terror agarrado a mi espalda y sin atreverme a mirar atrás. Cuando arribé a mi casa, después de ese trayecto para mí infinito, mi madre aún no había regresado.

À cet instant, il me sembla qu'elle lâchait le rat et déployait ses deux bras, telles des ailes. Moi, je repris ma course. Je courus, en entendant le claquement de mes dents, mes ongles plantés dans les paumes de mes mains. Je courus dans la nuit sans lune, la terreur à mes trousses et sans oser regarder en arrière. Quand je débarquai chez moi, au terme de ce trajet infini pour moi, ma mère n’était pas encore rentrée.

Du coup, je me suis inspirée des propositions d'Audrey quand ça n'allait pas.

Tradabordo a dit…

En ese momento me pareció que soltaba la rata y que extendía ambos brazos como si fueran alas, y yo volví a correr, corrí escuchando el castañeteo de mis dientes, con las uñas hundiéndose en las palmas de mis manos, corrí bajo la noche sin luna, con el terror agarrado a mi espalda y sin atreverme a mirar atrás. Cuando arribé a mi casa, después de ese trayecto para mí infinito, mi madre aún no había regresado.

À cet instant, il me sembla qu'elle lâchait le rat et déployait ses deux bras, telles des ailes. Moi, je repris ma course. Je courus, en [non, il vaut mieux sans] entendant le claquement de mes dents, [là, il faut changer qqchose, car on a l'impression que c'est tjs régi par « en entendant »] mes ongles plantés dans les paumes de mes mains. Je courus dans la nuit sans lune, la terreur à mes trousses et sans oser regarder en arrière. Quand je débarquai chez moi, au terme de ce trajet infini pour moi, ma mère n’était pas encore rentrée.

Audrey a dit…

À cet instant, il me sembla qu'elle lâchait le rat et déployait ses deux bras, telles des ailes. Moi, je repris ma course. Je courus, entendant le claquement de mes dents, les ongles plantés dans la paume de mes mains. Je courus dans la nuit sans lune, la terreur à mes trousses et sans oser regarder en arrière. Quand je débarquai chez moi, au terme de ce trajet infini pour moi, ma mère n’était pas encore rentrée.

Hélène a dit…

En ese momento me pareció que soltaba la rata y que extendía ambos brazos como si fueran alas, y yo volví a correr, corrí escuchando el castañeteo de mis dientes, con las uñas hundiéndose en las palmas de mis manos, corrí bajo la noche sin luna, con el terror agarrado a mi espalda y sin atreverme a mirar atrás. Cuando arribé a mi casa, después de ese trayecto para mí infinito, mi madre aún no había regresado.

À cet instant, il me sembla qu'elle lâchait le rat et déployait ses deux bras, telles des ailes. Moi, je repris ma course. Je courus, entendant le claquement de mes dents, tandis que mes ongles s'enfonçaient dans les paumes de mes mains. Je courus dans la nuit sans lune, la terreur à mes trousses et sans oser regarder en arrière. Quand je débarquai chez moi, au terme de ce trajet infini pour moi, ma mère n’était pas encore rentrée.

Tradabordo a dit…

Audrey, n'oublie pas de mettre l'espagnol à chaque fois.

***

En ese momento me pareció que soltaba la rata y que extendía ambos brazos como si fueran alas, y yo volví a correr, corrí escuchando el castañeteo de mis dientes, con las uñas hundiéndose en las palmas de mis manos, corrí bajo la noche sin luna, con el terror agarrado a mi espalda y sin atreverme a mirar atrás. Cuando arribé a mi casa, después de ese trayecto para mí infinito, mi madre aún no había regresado.

À cet instant, il me sembla qu'elle lâchait le rat et déployait ses deux bras, telles des ailes. Moi, je repris ma course. Je courus, entendant le claquement de mes dents, tandis que mes ongles s'enfonçaient dans les paumes de mes mains. Je courus dans la nuit sans lune, la terreur à mes trousses et sans oser regarder en arrière. Quand je débarquai chez moi, au terme de ce trajet infini pour moi, ma mère n’était pas encore rentrée.

OK.

Audrey ?

Audrey a dit…

En ese momento me pareció que soltaba la rata y que extendía ambos brazos como si fueran alas, y yo volví a correr, corrí escuchando el castañeteo de mis dientes, con las uñas hundiéndose en las palmas de mis manos, corrí bajo la noche sin luna, con el terror agarrado a mi espalda y sin atreverme a mirar atrás. Cuando arribé a mi casa, después de ese trayecto para mí infinito, mi madre aún no había regresado.

À cet instant, il me sembla qu'elle lâchait le rat et déployait ses deux bras, telles des ailes. Moi, je repris ma course. Je courus, entendant le claquement de mes dents, tandis que mes ongles s'enfonçaient dans les paumes de mes mains. Je courus dans la nuit sans lune, la terreur à mes trousses et sans oser regarder en arrière. Quand je débarquai chez moi, au terme de ce trajet infini pour moi, ma mère n’était pas encore rentrée.

OK pour moi